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Nicolas Sarkozy était lundi soir l’invité du 20 heures de France 2. Au lendemain du premier tour des élections régionales, le patron des Républicains a ainsi été amené à évoquer sa stratégie pour le second scrutin. La veille, l’ex-chef de l’Etat s’était prononcé contre le retrait et contre la fusion de listes. Une décision qu’il a défendue face à David Pujadas. "Il n’y a pas d’accord entre nous", a-t-il d’abord martelé à propos du PS, lequel a décidé de retirer sa liste dans les régions "à risque face au FN". "Le Parti socialiste a pris sa décision, librement et je la respecte. Nous avons pris notre décision", a-t-il ensuite fait valoir avant d’affirmer : "il n’y aura pas de combines". Insistant bien sur le fait qu’il n’y aura pas de "combinazione" entre son parti et celui de son rival de 2012, Nicolas Sarkozy a également souligné qu’il ne voulait "pas d’arrangements dans le dos de (s)es électeurs". Et celui-ci d’ajouter : "ce n’est pas comme ça que ça se passe, ‘passe-moi la salade, je t’envoie la rhubarbe’".
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Des métaphores parfois difficiles à comprendreEncore une fois, l’ancien président de la République a eu recours à une expression imagée pour illustrer ses propos. Et si cette métaphore était, bien que surprenante, relativement facile à comprendre, cela n’a pas toujours été le cas. On se souvient notamment des propos qu’il a tenus en octobre dernier lors d’un meeting à Limoges. Alors qu’il évoquait les électeurs du Front National, Nicolas Sarkozy avait déclaré : "Je voudrais leur dire qu’on a reçu un coup de pied au derrière mais que c’est parce que vous voulez renverser la table que vous descendez de la voiture dont vous vous abstenez de choisir le chauffeur". On vous laisse méditer.
En vidéo – Et vous ? Avez-vous compris cette phrase de Nicolas Sarkozy ?