
Les seniors aussi peuvent s'ils le décident faire don de leur foie ou de leurs poumons pour sauver la vie de patients en attente de greffe, et ce jusqu'à un âge avancé contrairement à ce que l'on pourrait...
"On a touché là où ça me fait mal. Ma femme et mes enfants sont en pleurs. Là, on a franchi la ligne. Là, j’ai la rage." D'ordinaire très discret sur sa vie personnelle, Nicolas Hulot a donc, une fois n'est pas coutume, évoqué la souffrance de sa famille. Après avoir fermement dénoncé ce qu'il considère comme étant des affaires "ignominieuses", le ministre a voulu prendre la parole et défendre son honneur ainsi que sa famille.
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Une enquête de L’Ebdo à venir
Pour Nicolas Hulot, ces accusations ne sont qu’"histoires et rumeurs". Mais quels sont les dessous de ces accusations ? C’est la question que s’est posé le nouveau magazine papier L’Ebdo, qui publiera ce vendredi un reportage à ce sujet. Entre "harcèlement d’une ancienne salariée de la Fondation Hulot" et "acte sous contrainte", L’Ebdo a recueilli un témoignage clé. Celui d'une femme, dont l'identité n'a pas été révélée à sa demande, qui accuse le ministre d'acte sous contrainte en 1997, mais n'a porté plainte qu'en 2008. Après coup, celle-ci a finalement été classée sans suite.
Une démission à la clé ?
Invité sur BFMTV pour répondre aux questions de Jean-Jacques Bourdin, le ministre a donc fait part de son indignation : "Y’en a marre. A un moment il faut passer à autre chose. C’est un cauchemar. Je suis solide, ma famille est solide, mais ma famille est ce qu’il y a de plus important pour moi". "Vous avez pensé à démissionner ?" a répliqué le journaliste. Réponse de l'intéressé : "Je n’y ai pas pensé. C’est ma famille qui prime, c’est sa résistance qui prime, et c’est ça qui guidera ma décision, mes choix."
Mise au courant, l'Elysée n'a pas hésité à apporter son entier soutien au ministre et précise qu’il existe "une jurisprudence clairement établie par le Premier ministre […] qui est que tant qu’il n’y a pas de mise en examen, il n’y a pas de raison qu’une démission soit évoquée."
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