De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Il y a deux semaines, Nicolas Hulot faisait ses premiers pas en tant que ministre sur le perron de l'Elysée. Convoité par tous les présidents depuis Jacques Chirac, l'écologiste a finalement accepté l'offre d'Emmanuel Macron.
Le nouveau ministre de la Transition énergétique a expliqué les raisons de son choix au JDD. Il a indiqué que cétait la "nouveauté" qui l'avait poussé à suivre Emmanuel Macron. "Pendant cette campagne, beaucoup réclamaient de la 'nouveauté '. Moi le premier, j'ai été un peu réservé sur la 'nouveauté', mais à un moment, si on la réclame, il faut être cohérent et lui donner une chance. J'ai l'espoir que l'on puisse sortir du théâtre des apparences et en finir avec nos sempiternelles divisions qui enlisent notre pays et le détournent en permanence de l'essentiel."
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"Le titre de vice-Premier ministre a été envisagé"
Et de révéler les circonstances de son choix : "Quelques jours après son élection, je suis allé le voir à sa demande. Une phrase a achevé de me convaincre. Il m'a dit : 'J'ai bien conscience que l'enjeu que tu portes est un enjeu essentiel qui conditionne tout le reste. Je n'en ai peut-être pas pris encore toute la mesure et c'est bien pour cela que j'ai besoin de toi.' Je fonctionne à l'instinct. J'ai senti de la sincérité."
L'écologiste lui a alors répondu par une pirouette : "J'espère que c'est moi qui vais vous inspirer, les ministres et toi, et non vous qui allez m'aspirer."
Il fait enfin une dernière révélation : "Le titre de vice-Premier ministre a été envisagé mais ce n'était pas constitutionnel." Nicolas Hulot s'est donc "contenté" du titre de "ministre d'Etat", le plaçant en troisième place dans le rang protocolaire.
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