La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Nadine Morano a été écartée de la tête de liste des élections départementales en Meurthe-et-Moselle par la direction des Républicains à cause de ses récents propos sur la "race blanche" dans l’émission On n’est pas couché sur France 2. Interrogée ce mercredi par le Point, l’eurodéputée en a profité pour régler ses comptes avec le président du parti, Nicolas Sarkozy : "Ce n'est même pas la peine qu'il songe à se présenter à la présidentielle, je le dézinguerai !", a-t-elle affirmé, visiblement en colère après son éviction.
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"J'ai été très bonne chez Ruquier, samedi soir"
"C'est un procès en sorcellerie. Sur quel fondement veut-on m'évincer ? Aucune plainte n'a été déposée contre moi. On veut me dézinguer parce que je suis candidate à la primaire", a-t-elle assuré, ajoutant qu’elle avait été "très bonne chez Ruquier, samedi soir". "Ils ont peur. Chacun envoie ses sbires pour me dégommer", a-t-elle ensuite déclaré en référence aux critiques formulées par certains proches de Bruno Le Maire et Xavier Bertrand.
Seul François Fillon échappe à sa colère. En effet, d’après elle, l’ancien Premier ministre est le seul à avoir été "parfaitement correct" après le déclenchement de la poémique.
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