Chaque fin d’année, Google dévoile son classement des dernières tendances de recherche en France et dans le monde. Tour d'horizon des sujets qui ont marqué l’année 2024 en France.
Nadine Morano a été écartée de la tête de liste des élections départementales en Meurthe-et-Moselle par la direction des Républicains à cause de ses récents propos sur la "race blanche" dans l’émission On n’est pas couché sur France 2. Interrogée ce mercredi par le Point, l’eurodéputée en a profité pour régler ses comptes avec le président du parti, Nicolas Sarkozy : "Ce n'est même pas la peine qu'il songe à se présenter à la présidentielle, je le dézinguerai !", a-t-elle affirmé, visiblement en colère après son éviction.
A lire aussi- "Pays de race blanche" : Nadine Morano s’offre une nouvelle polémique
"J'ai été très bonne chez Ruquier, samedi soir"
"C'est un procès en sorcellerie. Sur quel fondement veut-on m'évincer ? Aucune plainte n'a été déposée contre moi. On veut me dézinguer parce que je suis candidate à la primaire", a-t-elle assuré, ajoutant qu’elle avait été "très bonne chez Ruquier, samedi soir". "Ils ont peur. Chacun envoie ses sbires pour me dégommer", a-t-elle ensuite déclaré en référence aux critiques formulées par certains proches de Bruno Le Maire et Xavier Bertrand.
Seul François Fillon échappe à sa colère. En effet, d’après elle, l’ancien Premier ministre est le seul à avoir été "parfaitement correct" après le déclenchement de la poémique.
En vidéo sur le même thème - Nadine Morano déclenche une polémique dans ONPC