La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Une incroyable interview. Si certains candidats aux élections municipales se sont déjà illustrés par leurs tracts ou clips de campagne, jamais encore l’un d’eux ne l’avait fait par une interview. C’est désormais chose faite. Il y a quelques jours sur le plateau de France 3, Caroline Bartoli, candidate divers gauche à Propriano (Corse), a en effet répondu aux questions du journaliste de manière plus ou moins confuse.
Missionnée pour ensuite céder la place à son épouxAlors que son époux et maire sortant de Propriano ne peut pas se présenter aux élections après avoir été frappé d’inéligibilité, Caroline Bartoli se présente à sa place. Concrètement, celle-ci est missionnée par Paul-Marie Bartoli pour candidater, remporter l’élection et démissionner peu de temps après. L’objectif étant alors de provoquer un nouveau scrutin dès que l’inéligibilité du maire actuel sera achevée, à savoir fin mai. Mais si la tâche peut paraître simple en apparences, il semblerait qu’en pratique elle s’avère plus compliquée que prévu. Notamment lorsqu’il s’agit de défendre son programme.
"Heu…"Interrogée lundi sur France 3, la candidate s’est montrée confuse dans ses réponses. Munie de notes, elle ne s’est pas cachée de les lire pour répondre brièvement aux questions qui lui étaient posées. Et a même répondu à "côté de la plaque" lorsqu’elle a été interrogée sur un point pour lequel ses équipes ne lui avaient visiblement pas fourni de réponse. Alors que le journaliste lui demandait quelle politique elle souhaitait mener, celle-ci lui a en effet répondu : "heu…naturellement, nous respecterons le code électoral et le code général des collectivités territoriales et nous rendrons la parole au peuple souverain qui est seul notre juge". Regardez l’intégralité de son interview ci-dessous :