La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
UDI
L'Union des démocrates et indépendants (UDI) est financièrement dans le rouge, annonce Libération. "C'est simple, le parti est quasiment au bord de la cessation de paiement." résume au quotidien un membre de l'instance dirigeante. Le parti se demande même s'il ne va pas vendre son siège "un peu démesuré de trois étages", à Paris.
Les Républicains
Selon un audit réalisé par l'UMP (aujourd'hui Les Républicains), le parti a une dette cumulée de 74,5 millions, constituée principalement de prêts bancaires et d'un emprunt immobilier pour financer le siège national dans le XVe arrondissement de Paris.
Front national
Après une année 2007 désastreuse (échecs à la présidentielle et aux législatives), le parti de Jean-Marie Le Pen a décidé de vendre pour 9 millions d'euros son siège national surnommé "Le Paquebot" afin d'assainir ses finances. Depuis, le FN aidé de deux micropartis (Jeanne et Cotelec), chargés de récolter des prêts et des dons, et les victoires électorales successives ont permis d'éponger la dette de 10 millions d'euros que le parti traînait depuis 2010.
Parti socialiste
Comme le montre un graphique du Monde, la dette du PS était de 44 millions d'euros en 2012, soit plus du double de ce qu'elle était les années précédentes (18 millions). Depuis les victoires électorales (présidentielle et législatives) de 2012, la formation de gauche va de mal en pis et les finances en patîssent. Ainsi des élections départementales d'avril dernier qui avec quelque 485 conseillers départementaux en moins ont privé le parti "de 1 million d'euros, quand les deux précédents scrutins lui en avaient déjà coûté autant.", indique Sud-Ouest.
EELV
Europe-Ecologie-Les Verts ne va pas bien non plus. Le parti écologiste, qui n'a toujours pas remboursé sa cuisante défaite à l'élection présidentielle de 2012 (2,3 % des voix), souhaite depuis juin se séparer de son siège national situé à Paris. Mais le bâtiment, estimé entre 3,5 et 4 millions d'euros ne trouve pas preneur... En attendant, "EELV perd 400 000 euros par an", selon Le Monde.