
Il existe plusieurs règles à respecter lorsqu'on se rend sur une plage, il est important de les connaitre au risque de recevoir une amende. Les voici.
Brice Hortefeux, député européen et président de l'Association des amis de Nicolas Sarkozy : "la prise de conscience de la faiblesse du gouvernement actuel a certainement joué", ces derniers jours.
Les dernières prises de position du gouvernement, pour la compétitivité ou la TVA sociale, seraient un aveu de retour au Sarkozysme, pour l'électorat de droite. "En adoptant un pacte de compétitivité, Hollande avoue qu'il a dit l'inverse pendant toute la campagne, et il reconnaît en même temps la justesse du diagnostic établi par Nicolas Sarkozy et, pour autant, il n'en tire pas toutes les conséquences", note l'ex-ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux.
Aujourd'hui le ministre de gauche le plus populaire, Manuel Valls, reconduit une politique similaire à l'Intérieur, avec l'expulsion des Roms. Ce qu'avait aussi à l'époque décrié l'opposition…
Autre explication à cette "sarkonostalgie" de la droite : la bataille pour la présidence de l'UMP. Les deux candidats, Fillon et Copé semblent manquer de charisme et restent moins convaincant que l'ancien "maître de maison".
Pour l'ancien Secrétaire d'Etat du Commerce Frédéric Lefebvre "cette période électorale est bonne pour Sarkozy". Les proches de l'ancien président pensent aussi que le débat entre François Fillon et Jean-François Copé a souligné en creux que Sarkozy "était bien meilleur que ces deux-là réunis".
Un duel qui aurait donc servi au final le grand absent de la compétition.
Enfin, la chute de Hollande dans les sondages, depuis cet été, clos l'état de grâce présidentiel encore plus tôt que prévu. Combiné à une droite encore convalescente, Sarkozy apparaît comme celui dont on attend, à l'UMP du moins, le retour en sauveur de la nation.