Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
A un an des élections européennes, Laurent Fabius organise une consultation de tous les chefs de partis politiques tout au long du mois de juillet. Mercredi, c’est la présidente du Front national, Marine Le Pen, qui a été conviée par le ministre des Affaires étrangères. Après avoir été reçue fin novembre par François Hollande pour évoquer le rapport Jospin, consacré à "la rénovation et la déontologie de la vie publique", c’est donc cette fois-ci Laurent Fabius qui lui a ouvert ses portes. Ils ont fait un point sur la situation internationale et évoqué les questions européennes.
"Nos positions sont irréconciliables"
Venue afin d’exposer des propositions pour sortir de la crise, la présidente du FN semble être sortie ravie de cet entretien. Même si ,visiblement, ces deux-là ne tomberont jamais d’accord. "Nous n’avons pas trouvé de point communs. Nos positions sont irréconciliables", a admis Marine Le Pen devant le Quai d’Orsay. Fervente partisane du référendum, Marine Le Pen en a profité pour le réclamer auprès de Laurent Fabius. Elle souhaite que les Français puissent enfin "s’exprimer sur la façon dont cette Union européenne se construit sans leur volonté". La présidente du FN exhorte la France à rompre avec la construction européenne afin que le pays retrouve "la maîtrise de ses frontières", la "maîtrise de sa monnaie et de sa politique monétaire". Cette dernière aura tout le loisir d’aborder ces thématiques pour la campagne des élections européennes prévues en juin 2014.