Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Le Lab d’Europe 1. Interpellant Manuel Valls sur son interview accordée dimanche dernier au JDD, dans laquelle le ministre de l’Intérieur évoquait un climat politique comparable à « celui des années 30 », Pierre Lellouche lui lance en le croisant : « Tu y es allé un peu fort dans ton interview, on n’est pas le 6 février 1934 ! ».« Je t’emmerde aussi ! »Réponse de Manuel Valls : « Je t’emmerde ! » Ce à quoi Pierre Lellouche réplique : « Je t’emmerde aussi. On n’est pas le 6 février 1934 ». Un échange confirmé au Lab quelques heures plus tard par Pierre Lellouche lui-même. « Jamais en vingt ans de politique on ne m’a parlé avec une telle violence. On ne parle pas comme ça à un député, à un ancien ministre ! » s’est récrié le député, qui affirme sentir un « raidissement idéologique inouï » au sein du gouvernement. « Tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux sont des factieux, des fascistes, c’est intolérable » a-t-il ajouté.« Nous défendons nos convictions, nous n'avons pas à être insultés »Dans son interview au JDD, Manuel Valls appelait à un « sursaut de la gauche » face à la « droite républicaine » et des « mouvements qui n’acceptent pas la démocratie et les choix du Parlement ». Une interview également évoquée par Christian Jacob, chef de file UMP, en séance ce mardi. « Dans ce combat politique nous défendons nos convictions, nous n'avons pas à être insultés ou caricaturés » a-t-il déclaré.
Il n’est pas rare que les esprits s’échauffent à l’Assemblée. Ce mardi après-midi a une nouvelle fois vu résonner quelques réparties fleuries dans les couloirs, quelques minutes avant la séance des questions au gouvernement, rapporteA revoir en vidéo : Manuel Valls préfère boire un verre avec Pénélope Cruz qu'être Premier Ministre