Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
François Hollande
Le président de la République a qualifié lundi à la tribune de l'ONU (New York) le président syrien de "bourreau". "On ne peut pas faire travailler ensemble victimes et bourreau. Assad est à l'origine du problème : il ne peut pas faire partie de la solution."
Angela Merkel
La chancelière allemande estime, elle, qu'il faut parler avec Bachar el-Assad. "Il faut parler avec de nombreux acteurs, et cela implique (Bachar el) Assad, mais il y en a d'autres.", a-t-elle déclaré le 24 septembre dernier.
David Cameron
Le Premier ministre britannique s'est rallié à la position d'Angela Merkel en acceptant l'idée que le président syrien reste temporairement au pouvoir avant qu'un gouvernement d'unité nationale ne soit formé dans le pays. Selon le Sunday Telegraph, citant une source du gouvernement Cameron, s'"il n'y a pas d'avenir stable et pacifique sur le long terme pour la Syrie (...) tant que le président el-Assad est à sa tête (...) il y a toujours eu l'idée d'une transition politique."
Barack Obama
Dans son discours lundi à l'ONU, le président des Etats-Unis a redit tout le mal qu'il pensait de Bachar el-Assad en parlant de lui comme d'un "tyran" qui "massacre des enfants innocents". Il a par ailleurs rejeté l'idée de soutenir le président syrien sous prétexte que l'alternative (l'Etat islamique) "serait pire".
Vladimir Poutine
Des principaux dirigeants de la planète, le président russe est le plus favorable à Bachar el-Assad. "Il n'y a pas d'autre solution à la crise syrienne que de renforcer les structures gouvernementales et de les aider dans le combat contre le terrorisme, a-t-il déclaré à la chaîne CBS, en allusion à la lutte contre le groupe Etat islamique (EI). Dand le même temps, il faut encourager Damas à réformer et à entamer le dialogue avec une opposition constructive et rationelle."
Dans ce même entretien avec la chaîne américaine, Vladimir Poutine a avoué qu'il envoyait en ce moment des troupes russes en Syrie pour "sauver" Bachar el-Assad.