De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Lapsus en série sur François Bayrou
Le récent soutien de François Bayrou à Alain Juppé pour la présidentielle 2017 a largement été évoqué jeudi soir. Mais alors qu’il tentait de défendre ce rapprochement, le maire de Bordeaux a écorché le nom du président du MoDem, le mélangeant avec celui de François Baroin fidèle soutien de Nicolas Sarkozy. Un lapsus que ce dernier avait justement fait la veille et que Jean-François Copé a fait à son tour quelques minutes plus tard. Autant de lapsus qui ont nous ont non seulement fait rire mais également les sept adversaires. "C’est l’arroseur arrosé", a alors lâché l’ancien président au maire de Meaux. Ce à quoi ce dernier a répliqué : "Oui ben attend la fin de l’histoire, tu vas voir que l’arrosage va dans l’autre sens".
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Le pain au chocolat de Jean-François Copé
Quelques minutes plus tard, et alors que ses adversaires débattaient encore du soutien de François Bayrou et du "ni-ni", Jean-François Copé s’est laissé aller à faire de l’autodérision. Pour clore le sujet, le candidat a en effet fait écho à l’affaire qui l’a mis dans l’embarras la semaine dernière. Souvenez-vous : il avait situé le prix d’un pain au chocolat entre "10 et 15 centimes" d'euros, ce qui avait déclenché de nombreuses moqueries. "Moi, je fais des erreurs de prix de pain au chocolat mais là… Après Bayrou, on se demande si on voterait Hollande !? Quelle panade !". Une nouvelle sortie qui n’a pas manqué de faire rire la salle.
Alain Juppé et sa référence à Zorro
Alain Juppé a lui aussi fait rire les personnes qui l’entouraient, mais malgré lui. "Une France décomplexée, c’est une France qui remonte à cheval, comme Zorro", a-t-il déclaré. Une réflexion qui se voulait très sérieuse mais qui a laissé les internautes hilares.
Fou rire de NKM
Enfin, ce deuxième débat a été marqué par le fou rire de Nathalie Kosciusko-Morizet. La candidate s’est en effet laissée aller à un rire franc après que son rival Jean-François Copé a fait un lapsus en affirmant qu’il fallait un gouvernement avec des "ministres de gauche".