Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Gilbert Collard
En meeting mercredi au Cailar, dans le Gard, Gilbert Collard; qui est arrivé au coude-à-coude au premier tour avec sa rivale LREM, a décidé de passer un savon à ses électeurs. "Allez voter bande de fainéants ! Si tous les électeurs du Front avaient voté je passais au premier tour", rapporte Europe 1.
Puis, il a poursuivi sur le registre émotionnel : "Si certains "regrettent le départ de Marion, ce n'est pas une raison pour me laisser tomber", a-t-il déclaré avant d’expliquer à propos d’Emmanuel Macron qu’il veut "au moins pouvoir l’emmerder" à l’Assemblée nationale.
Henri Guaino
Depuis sa défaite au premier tour des législatives dimanche, Henri Guaino multiplie les déclarations fracassantes sur les plateaux, s'en prenant à chaque fois aux électeurs de la 2e circonscription de Paris où il se présentait.
Sur BFMtv au soir de sa défaite, il avait déclaré que ses électeurs étaient "à vomir" avant d'annoncer son retrait de la vie politique. Il s'en est plus particulièrement pris "aux bobos qui vivent dans l'entre-soi de leur égoïsme", et puis à "cette bourgeoisie traditionnelle de droite, celle qui va à la messe, qui emmène ses enfants au catéchisme et qui après vote pour un type qui pendant 30 ans s'est arrangé, a triché", visant ainsi François Fillon.
Daniel Delomez, maire d'Annezin
Au lendemain des résultats du premier tour de la présidentielle, le maire socialiste d'Annezin (Pas-de-Calais), Daniel Delomez, avait fait sensation avec une phrase. En découvrant que Marine Le Pen était arrivée en tête dans sa commune, il avait déclaré au journal L'Avenir de l'Artois qu'il songeait à démissionner.
Mais ce n'est pas tout, il a dit qu'il pourrait démissionner car il ne veut pas "consacrer (sa) vie à des connards". Contacté par La voix du Nord, il avait finalement regretté l'insulte et avait remisé toute velléité de quitter son poste.
Jean-Luc Mélenchon
Lors des législatives de 2012, Jean-Luc Mélenchon était venu à Hénin-Beaumont dans un duel au sommet contre Marine Le Pen, dans une terre pourtant acquise aux idées frontistes.
Lors d'un marché, le leader de la gauche radicale avait eu maille à partir avec un électeur, sympathisant FN, qu'il avait traité d'"imbécile" et de "crétin" comme on peut le voir dans cette vidéo.