Paul Christophe, ministre des Solidarités, de l’Autonomie et de l’Égalité entre les femmes et les hommes, a dévoilé, dans un entretien donné à Ouest-France, les modalités de paiement de la prime de Noël...
l’Opinion, un article est consacré aux quelques pages que l’ancien Premier ministre de la cohabitation a dédiées à Jacques Chirac dans son livre, La tragédie du pouvoir. Selon Edouard Balladur, l’ancien président ne serait "pas encombré par les convictions". Bien qu’il le considère plutôt comme dynamique, le natif d’Izmir en Turquie n’hésite pas à qualifier Jacques Chirac de véritable girouette politique comme le démontre cette phrase : "Tour à tour il fut dirigiste, social-démocrate, libéral, antieuropéen, pro-européen, productiviste, écologiste, antiaméricain, pro-américain, nationaliste, tiers-mondiste, apôtre des droits de l’homme, ami des despotes d’Afrique ou d’Asie à la réputation sulfureuse". Une riposte à Jacques ChiracDans ses mémoires intitulées Chaque pas doit être un but parues en 2009, Jacques Chirac avait déjà taclé Edouard Balladur, celui qui l’a trahi en 1995. "J’avais confiance en Edouard Balladur", notait l’ancien président. Quand il l’a nommé Premier ministre, en 1993, cela correspondait pour lui à un "contrat moral". Pourtant, Edouard Balladur lui a confié un peu plus tard "Jacques... Ne vous y trompez pas. Je ne serai jamais votre Premier ministre". Des années après leur combat, ces deux vieux briscards de la politique n’ont apparemment toujours pas enterré la hache de guerre.
Edouard Balladur et Jacques Chirac n’ont jamais été de grands amis et tout le monde le sait. 18 ans après les élections de 1995 remportées par l’ancien maire de Paris, Edouard Balladur a décidé de laver son linge sale en public. Dans le quotidien