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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
© abacapressl était environ 9h30 ce lundi matin lorsque 5 membres du « Collectif anti-tout » ont fait irruption dans l’hémicycle, armés de couteaux et d’armes de poing. Pris en otage par les terroristes, les députés ont été retenus sous la menace. Les membres du collectif, eux, réclament une entrevue avec Manuel Valls. Les députés ont finalement été libérés aux alentours de 10h40, après l’assaut du GIGN, qui a fait deux morts parmi les preneurs d’otages.Un scénario bien ficeléCette intervention était en réalité le fruit d’un scénario bien huilé écrit à l’avance, qui s’est déroulé sous le regard impassible ou presque du président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone. Le Parisien, qui faisait partie des rares privilégiés à pouvoir assister à la scène, rapporte la scène ce mardi matin. Si les couteaux étaient en plastique, la probabilité d’une telle prise d’otages, elle, serait prise très au sérieux par les « acteurs » d’un jour. « Cette situation pourrait très bien se produire un jour » confie ainsi au quotidien Claude Bartolone.Le GIGN prêtMieux vaut donc se tenir prêt, au cas où. Pour le GIGN, les forces d’élite de la gendarmerie, qui étaient bien réelles, l’exercice était inédit. Si une quinzaine d’ « intrusions extérieures » se sont produites à l’Assemblée depuis 2006, aucune n’a bien sûr pris cette ampleur. Une centaine de gendarmes ont donc pris part à l’exercice, certains endossant le « rôle » des députés. Le journaliste du Parisien a de son côté posté sur son compte Twitter quelques photos de cette « prise d’otages ».
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