De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Non, les résultats des élections régionales ne détermineront pas un remaniement ministériel dans la foulée… Selon les informations d’Europe 1, la valse des ministres attendra début 2016. De plus, Manuel Valls a affirmé cette semaine qu’il resterait Premier ministre quoiqu’il arrive au second tour des élections régionales qui aura lieu dimanche prochain.
Hollande a apprécié l’union de la gauche pendant les régionales
Selon la radio, si l’exécutif ne veut pas réagir à chaud, c’est parce que "le succès du Front national et les difficultés des Républicains aux élections régionales ont changé la donne". François Hollande aurait en effet apprécié le fait que l’union de la gauche se fît naturellement pour le second tour. A l’exception notable de la Bretagne où Jean-Yves Le Drian, le candidat socialiste arrivé en tête dimanche dernier, a refusé toute alliance avec EELV.
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Une ouverture à la gauche radicale, mais pas pour les frondeurs
Moins qu’un grand chambardement, il s’agirait plutôt d’un mini-remaniement. "A l'exception de celui de Laurent Fabius, dont le nom circule pour prendre la présidence du Conseil constitutionnel, aucun départ d'importance ne devrait avoir lieu.", explique Europe 1, qui révèle que Christiane Taubira se verrait bien à la Culture en remplacement de Fleur Pellerin qui, elle, pourrait retourner vers "un ministère plus économique".
Enfin, la radio croit savoir que l’Elysée envisagerait une ouverture de son gouvernement à gauche, "en appelant un radical, comme Jean-Michel Baylet, ou un écologiste, comme Barbara Pompili ou Jean-Vincent Placé", ou bien un fidèle, comme Bruno Le Roux, chef de file des députés PS à l’Assemblée. En revanche, rien n’est prévu pour les frondeurs socialistes.
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