Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
J'enrage de voir jour après jour le Front National fixer ses thèmes et ses anathèmes. J'enrage de cette confusion où extrême gauche et droite votent ensemble au Sénat et défilent dans les rues de Quimper". Le socialiste a également regretté "la référence au ras le bol fiscal s'installe".La gauche pas épargnéeDésabusé, Jean-Cristophe Cambadélis n’a ni épargné le parti socialiste, ni le mouvement populaire qui s’est levé en Bretagne depuis maintenant quelques semaines. "J'enrage de voir à gauche chacun faire sa petite soupe dans son petit coin pendant que la xénophobie monte et le 'moi ma gueule' submerge tout. J'enrage qu'on refuse de critiquer les destructions de biens publics en Bretagne... De peur de quoi?", s’est-il demandé.Bien sûr, l’Europe n’a pas échappé à la "rage" du député PS, surtout après les révélations sur la NSA. "J'enrage de voir l'Europe démissionner face aux oreilles de la NSA ou à la bêtise hystérique du tout austéritaire." "J'enrage du désintérêt franchouillard de l'Europe pendant que la renationalisation rôde et la solidarité s'érode", s’est-il indigné.Entre le racisme ambiant et la morosité due à la crise et au temps, rares sont ,certainement, les Français qui contrediront la "rage" de Jean-Cristophe Cambadélis.Jean-Christophe Cambadélis face à Ruth Elkrief :
Certains députés de la majorité n’en peuvent plus du climat délétère qui règne en actuellement France . Jean-Christophe Cambadélis en fait partie et il a décidé d’exprimer son ras-le-bol publiquement. Ce mercredi, le député socialiste de Paris a écrit un billet d’humeur sur son blog intitulé "J’enrage". Un texte dans lequel il s’est dit exaspéré face à l’époque l'actuelle. "J'enrage de cette sidération collective face aux difficultés. L'époque est aux idées molles, à la dispersion, à la démission des esprits. Un climat très 'juin 40' règne sur la France. J'enrage !", s'est-il exclamé.La colère du député d’origine grecque n’a pas de frontière et tous les maux de notre société en ont pris pour leurs grades. "J'enrage de voir la gauche l'arme au pied face aux remises en cause de la République. J'enrage que l'on puise traiter une ministre de 'guenon' sans manifestations politiques. J'enrage que l'on puisse remettre en cause le droit du sol sans combat", a écrit Jean-Christophe Cambadélis en préambule avant de poursuivre : "