Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Bernard Cazeneuve a été nommé Premier ministre mardi, suite au départ de Manuel Valls. Une nomination qui lui fait donc prendre le chemin de Matignon, avec à ses côtés son épouse, Véronique. Tous les deux ont une histoire d’amour un peu particulière : le couple s’est dit oui en août 2015… pour la seconde fois. Ils s’étaient en effet déjà mariés il y a plusieurs années, avant de divorcer et de finalement se remettre ensemble. Mariée depuis un an avec son ex-mari et mère de deux grands enfants, Madame Cazeneuve est éditrice, responsable de la maison d’édition A dos d’âne. Créée en 2009, cette société publie des ouvrages à destination des enfants, écrit l’Internaute. "La littérature, j’avais le projet de créer ma maison d’édition jeunesse depuis longtemps, et ces lectures m’ont donné l’élan nécessaire pour me lancer dans cette aventure", a expliqué la quinquagénaire en 2013 à un blog étudiant.
A lire aussi –Bernard et Véronique Cazeneuve : les secrets de leur couple
Deux polémiques
Mais si Véronique Cazeneuve a toujours veillé à rester éloignée de la vie politique, elle s’est pourtant récemment retrouvée au cœur d’une polémique. En août 2015, Mediapart révélait que George Forrest, "le roi des mines africaines qui avait versé une commission de 5 millions d’euros à Patrick Balkany", avait "acheté pour 60 000 euros de livres à la maison d’édition" de la quinquagénaire. Le mécène l’aurait ensuite emmenée au Congo pour "vanter l’opération". "L’histoire de Balkany est sortie juste à ce moment-là. Mais bon, malheureusement, tout était prévu, et je ne vois pas le rapport entre Balkany et ça. (…) Mon mari était ennuyé, mais il m’a dit qu’à partir du moment où tout était clair dans la démarche", a par la suite confié la "Deuxième dame" à propos de cet épisode.
En juin dernier, Véronique Cazeneuve a de nouveau eu les projecteurs braqués sur elle. Cette fois-ci à cause des trois chauffeurs qui avaient été mis à sa disposition. A l’époque son mari était encore ministre de l’Intérieur et, selon Le Point, elle avait trois chauffeurs mis à sa disposition par la Division des moyens mobiles : un pour ses déplacements personnels, un pour ceux de leurs enfants et pour remplacer les deux autres en cas d’absence. Des révélations d’autant plus surprenantes que son époux n’en avait, lui, qu’un seul. Contacté par Closer, le cabinet du ministère de l’Intérieur avait finalement mis fin à cette polémique en expliquant : "Il ne s'agit pas de trois chauffeurs comme écrit dans Le Point et repris sur plusieurs médias. La femme du ministre de l'intérieur a la possibilité pour des raisons de sécurité évidentes de mobiliser un véhicule ainsi qu'un policier armé. Il s'agit là de la protection minimale dans le contexte actuel".
En vidéo - Bernard Cazeneuve nommé Premier ministre : les internautes réagissent !