De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
« Il sait bien qu’il est irremplaçable »
Pour elle, pas de doute, l’ancien chef de l’Etat va se représenter. « Il nous en donne un peu l’impression. Peut-être n’en a-t-il pas envie, mais c’est un devoir » affirme Bernadette Chirac, avant d’ajouter : « Il sait bien qu’il est irremplaçable ». Le successeur de François Hollande semble donc tout trouvé, même si l’ancienne Première dame n’a rien à reprocher à l’actuel président. « François Hollande, je ne l'ai connu que comme président du conseil général de la Corrèze. Il a toujours été très courtois et je n'ai aucune remarque à faire sur lui qui puisse, de près ou de loin, être désagréable » confie-t-elle.
« Personne ne lui arrive à la cheville »
Mais pour Bernadette Chirac, c’est clair, personne ne tient la comparaison avec Nicolas Sarkozy. « Très franchement, je ne vois absolument personne qui lui arrive à la cheville » affirme-t-elle. « C'est un battant. Il parle admirablement, il a une mémoire colossale, une vitalité qui rappelle les cadences de mon mari ! Et puis ce que je tiens à dire, et que tout le monde ne sait pas, c'est qu'il est un homme de cœur, d'une grande générosité… » Si jamais Nicolas Sarkozy devait réellement se représenter en 2017, il est assuré d’avoir déjà au moins une voie, et peut-être même une directrice de campagne.