Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Pas d'union sacrée en France face à l'horreur de la guerre en Israël.Depuis que les forces militaires islamistes du Hamas ont attaqué l'Etat hébreu samedi matin, la classe politique est unanime sur la condamnation des violences en cours, mais s'écharpe surtout quant à la responsabilité des deux camps.
L'heure est à l'apaisement
Le débat s'est enflammé après la réponse de La France Insoumise au conflit, alors dans ses premières heure s. Le parti de Jean-Luc Mélenchon est accusé d'avoir mis dos-à-dos la violence du Hamas et celle de l'Etat Israélien, dans ce qui est passé aux yeux de certains pour une "justification" camouflée de l'attaque terroriste. Depuis, la classe politique se déchaîne contre le parti campé sur ses positions. L’exécutif a appelé mercredi, après un Conseil des ministres, à ne pas "importer le conflit" en France après l’attaque meurtrière sans précédent lancée samedi contre Israël par le mouvement islamiste palestinien Hamas, qui contrôle la bande de Gaza. Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a plaidé pour un "besoin, dans la période, d’unité, de cohésion de la nation". La probabilité est forte que le président Français profite ce soir de son allocution devant les téléspectateur pour appeler au calme, au niveau politique comme social, puisqu'entre 50 et 100 actes antisémites ont été comptabilisés dans l'hexagone depuis l'attaque du Hamas.
En attendant le discours d'Emmanuel Macron ce jeudi soir, découvrez dans notre diaporama ci-dessous, le florilège de ces déclarations plutôt polémique pour certaines faites par nos représentants politiques.