Les déclarations marquantes des politiques sur le conflit Israël - Palestine
Sur les réseaux sociaux ou dans la presse, les messages de politiques ont afflué dès l'annonce de l'attaque d'Israël par le Hamas. Certaines de ses déclarations sont moins bien passées que d'autres. Voici lesquelles.

Pas d'union sacrée en France face à l'horreur de la guerre en Israël.Depuis que les forces militaires islamistes du Hamas ont attaqué l'Etat hébreu samedi matin, la classe politique est unanime sur la condamnation des violences en cours, mais s'écharpe surtout quant à la responsabilité des deux camps.

L'heure est à l'apaisement 

Le débat s'est enflammé après la réponse de La France Insoumise au conflit, alors dans ses premières heure s. Le parti de Jean-Luc Mélenchon est accusé d'avoir mis dos-à-dos la violence du Hamas et celle de l'Etat Israélien, dans ce qui est passé aux yeux de certains pour une "justification" camouflée de l'attaque terroriste. Depuis,  la classe politique se déchaîne contre le parti campé sur ses positions. L’exécutif a appelé mercredi, après un Conseil des ministres, à ne pas "importer le conflit" en France après l’attaque meurtrière sans précédent lancée samedi contre Israël par le mouvement islamiste palestinien Hamas, qui contrôle la bande de Gaza. Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a plaidé pour un "besoin, dans la période, d’unité, de cohésion de la nation". La probabilité est forte que le président Français profite ce soir de son allocution devant les téléspectateur pour appeler au calme, au niveau politique comme social, puisqu'entre 50 et 100 actes antisémites ont été comptabilisés dans l'hexagone depuis l'attaque du Hamas.

Vidéo du jour

En attendant le discours d'Emmanuel Macron ce jeudi soir, découvrez dans notre diaporama ci-dessous, le florilège de ces déclarations plutôt polémique pour certaines faites par nos représentants politiques.

Jean-Luc Mélenchon

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Jean-Luc Mélenchon

Pour Jean-Luc Mélenchon, "toute la violence déchaînée contre Israël et à Gaza ne prouve qu’une chose : la violence ne produit et ne reproduit qu’elle-même". Ces propos ont fait polémique car ils sont interprétés par une grande partie de la classe politique comme une tentative de LFI de trouver des justifications à l'attaque du Hamas contre Israël.

Jérôme Guedj

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Jérôme Guedj

Le député PS Jérôme Guedj a estimé dimanche que la question de rester dans l'alliance de gauche Nupes se pose : "Ça me dégoûte de voir et de constater que certains - le communiqué du groupe LFI, les tweets de (Louis) Boyard, de Jean-Luc Mélenchon et peut être de quelques autres -  ont immédiatement été dans une forme de relativisme, de renvoi dos à dos, d'absence de ce minimum de compassion qui fait notre humanité commune".

Eric Ciotti

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Eric Ciotti

A droite, le président des Républicains, Eric Ciotti, a demandé dimanche dans un courrier adressé à Emmanuel Macron de "cesser tout financement" de l'Autorité palestinienne, "tant que nous n'obtiendrons pas des garanties solides sur l'usage des subsides internationaux", au lendemain de l'attaque du Hamas contre Israël.

Marine Le Pen

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Marine Le Pen

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