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Anne Sinclair n’a pas mâché ses mots. Certes, elle a récemment accepté de revenir sur l’affaire du Sofitel de New York et son divorce avec Dominique Strauss-Kahn, mais pas question pour autant qu’elle s’épanche dessus pendant des semaines. "C’est derrière. C’est loin. C’est dépassé. J’en ai souffert, mais je suis aujourd’hui au-delà de tout ça", a-t-elle confié au Journal du Dimanche.
"Je ne suis pas Valérie Trierweiler"
Alors qu’elle vient de sortir un livre, Chronique d’une France blessée, la journaliste a accepté de répondre à quelques questions concernant sa vie privée. Il faut dire qu’après que son couple a été au cœur de l’actualité politico-médiatique pendant des mois en 2011, Anne Sinclair est souvent demeurée silencieuse. On compte en effet sur les doigts d’une main les rares fois où elle a publiquement évoqué l’affaire du Sofitel de New York, celle du Carlton de Lille ou encore son divorce avec l’ancien patron du FMI. Malgré tout, le journaliste confie qu’il lui a été difficile de retrouver "une vie privée qui a été douloureusement publique".
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Aussi, veille-t-elle aujourd’hui, et à l’instar de ce qu’elle a toujours fait, à ne pas trop en dire. Et celle-ci de citer l’exemple qu’elle ne veut pas suivre : Valérie Trierweiler. "On continue d’essayer de m’interroger là-dessus, au bout de six années, alors que je ne dirai rien de plus, a-t-elle expliqué au JDD. Je ne suis pas Valérie Trierweiler. Je refuse de m’épancher. J’ai vécu et j’ai survécu et, pour moi, c’est terminé". Une sortie qui risque fort de ne pas plaire à l’ex-Première dame qui n’a, pour le moment, pas encore répliqué.
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