Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Canal +, Anthony Delon a envoyé un sms à l’un des journalistes du programme pour exprimer sa désapprobation des mots tenus par son père dans le quotidien suisse, Le Matin. "C'est consternant! C'est un acteur. Il ferait mieux de tourner des films et nous offrir une fin de vie à la Clint Eastwood plutôt que de s'improviser politologue", a-t-il déploré, avant d’ajouter : "Il fait une grosse boulette tous les quinze ans. Il y a quinze ans, il en a fait une grosse, c'était: 'Jean-Marie Le Pen mon pote de la guerre d'Algérie'. C'était une grosse connerie! Bon ben quinze ans plus tard, il a fait celle-ci". Malheureusement pour le père, la famille Delon ne le soutient vraiment pas sur cette thématique. Sa fille Anouchka a corroboré avec la réaction de son demi-frère sur Twitter : "Les propos tenus par mon père @cavousf5 ne concernent que lui, et n'ont aucun rapport avec les causes que je défends et auxquelles (sic) je crois", a-t-elle déclaré."Je l’approuve, je le pousse et le comprends"Lors de son interview au quotidien suisse Le Matin, Alain Delon avait estimé que le Front National prenait une "place importante" dans la vie politique française. "Les gens ont connu une France différente sous de Gaulle ou même Mitterrand. Voilà pourquoi le Front national, comme le MCG à Genève, prend une place très importante et ça, je l’approuve, je le pousse et le comprends parfaitement bien", avait-il affirmé au journal suisse.
La vérité sortirait-elle de la bouche des enfants ? Anthony, le fils d’Alain Delon, a jugé "consternants" les propos de son père sur le Front National. Ce mercredi soir, lors de l’émission du Grand Journal surL’homme qui s’affichait clairement aux cotés de Jean-Marie Le Pen dans les années 80 s’est réjoui du soutien électoral grandissant pour le parti d’extrême droite : "Depuis des années, Le Pen père et fille se battent, mais ils se battent un peu seuls. Là, pour la première fois, ils ne sont plus seuls. Ils ont les Français avec eux. C’est important".