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INTERVIEW. Noëlle Châtelet, écrivaine et présidente de l'Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), se confie le suicide de sa mère mais également sur son combat sur le droit à mourir.
Dimanche 30 juillet, Laurianne Rossi, députée La République en marche des Hauts-de-Seine a été agressée sur un marché à Bagneux. La parlementaire a été frappée au visage par un individu alors qu'elle distribuait des tracts avec plusieurs marcheurs, a indiqué l 'AFP.
Aux alentours de 11 heures, un homme "visiblement hostile à la politique d'Emmanuel Macron" est venu l'aborder en déclarant que les élus LREM étaient des "députés godillots". La discussion était calme, puis le ton est monté. "Tout d'un coup, il m'a mis un violent coup de poing dans la tempe. Personne ne l'avait vu venir, j'étais sonnée", a raconté Laurianne Rossi à Franceinfo. L'homme a tenté de s'enfuir, mais il s'est rapidement fait rattrapper par des marcheurs et des commerçants.
L'individu âgé d'une soixantaine d'années a ensuite été conduit au comissariat et placé en garde à vue, a confirmé une source proche de l'enquête à l'AFP. Ce lundi à 13h30, il devrait comparaitre pour "violences volontaires sur personne chargée d'une mission de service public et ayant entraîné une ITT inférieure à huit jours", d'après Franceinfo.
La députée qui s’est dite "sonnée, un peu choquée" a décidé de porter plainte. "Aucun désaccord politique ne peut justifier la violence, qui plus est contre les élus de la République et les femmes", a-t-elle affirmé sur Twitter. La classe politique a condamné cet acte et montré son soutien sur le réseau social. "Respecter les élus, c'est respecter la République", a notamment écrit le président de la République.
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