La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Moins d’une semaine après s’être affichés souriants et visiblement heureux au moment de partager la "galette républicaine", Valérie Trierweiler et François Hollande sont actuellement dans la tourmente. Leur bonheur a en effet volé en éclat vendredi matin avec la parution d’un numéro de Closer sur la prétendue relation qu’entretiendraient le président et l’actrice Julie Gayet. Photos à l’appui. Tandis que le chef de l’Etat s’est seulement risqué à invoquer le "droit au respect de (s)a vie privée" sans pour autant démentir, sa compagne a, quant à elle, accusé le coup. Le Parisien a en effet annoncé dimanche qu’elle avait été hospitalisée à Paris afin de pouvoir "prendre du repos et subir quelques examens". Son cabinet a ensuite précisé qu’elle avait été "abattue" et "éprouvée" par les révélations de Closer.
Fidèle à son tempérament, Valérie Trierweiler n’aurait cependant pas dit son dernier mot. Loin de vouloir s’effacer devant ce que les médias anglo-saxons appellent la "love affair" du président, la Première dame ne voudrait "pas claquer la porte sur un coup de tête", rapporte un proche cité par Le Parisien. "Elle semble prête à pardonner", précise cette même source. Mais encore faudrait-il que François Hollande se prononce sur ses intentions. A l’Elysée, certains conseillers déploreraient par ailleurs vivement le comportement de Valérie Trierweiler qui, selon eux, ferait du "chantage affectif".
Ségolène Royal tente de calmer le jeu
Pourtant en bisbille avec Valérie Trierweiler, Ségolène Royal, l’ex-compagne de François Hollande, s’est mêlée de cette affaire pour tenter de calmer le jeu. "Il faut tourner la page", a ainsi appelé dimanche sur France 2 l’ancienne candidate à l’élection présidentielle de 2007, avant d’ajouter : "Je ne veux pas alimenter d'une quelconque petite phrase un feuilleton qui est très, très, très éloigné des préoccupations des Français".
Une conférence de presse attendue
Malgré les remous qu’a provoqués la dernière Une de Closer, François Hollande n’a de son côté toujours pas démenti ni confirmé sa prétendue relation avec Julie Gayet. Sans doute le président attend-il la grande conférence de presse qui doit avoir lieu mardi. Mais alors que celle-ci était censée être consacrée aux entreprises et que le chef de l’Etat souhaitait s’y tenir, sans doute devra-t-il devoir revoir son programme. Les Français attendent en effet des explications, tout du moins des éclaircissements, et cette conférence semble tomber à point nommé.
Les rumeurs qui entourent l’appartement de Julie Gayet
D’autant, qu’en plus de ses affaires de cœurs, François Hollande sera également appelé à s’expliquer sur les rumeurs qui entourent l’appartement qu’occupe Julie Gayet. Plusieurs médias ont en effet assuré dimanche que ce logement situé dans le 8e arrondissement de Paris et qui aurait abrité les amours secrètes de l’actrice et du président, était lié au grand banditisme. Selon eux, il serait au nom de Michel Ferraci, un homme condamné en novembre 2013 à 18 mois de prison avec sursis dans l'affaire des détournements du cercle de jeu parisien Wagram au profit de membres du gang corse de la Brise de mer. "Je n'ai jamais habité cet appartement (...) et je n'en ai bien sûr jamais été propriétaire", a-t-il pourtant affirmé à l’Express.