De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
L’affaire Hollande-Gayet est sur toutes les lèvres. Ainsi, Nathalie Kosciusko-Morizet n’y a pas échappée ce mardi matin au micro d’Europe 1. Interrogée sur le statut de Première dame que la rumeur d’une liaison entre le président et l’actrice a relancé, la candidate UMP à la mairie de Paris n’a pas mâché ses mots. "Je suis pour la discrétion de la Première dame. C’est-à-dire pas de statut", a-t-elle affirmé. Selon elle, "On est dans un entre-deux. C’est toujours ce qu’il y a de pire. Il y a le choix entre un vrai statut, comme aux Etats-Unis, et le choix entre ne rien avoir. Le conjoint n’a pas d’existence officielle. Il ou elle peut être invité dans des dîners, et donc avoir un petit secrétariat pour gérer tout cela". Et l’ancien ministre d’insister : "mais (le conjoint, ndlr) n’a pas besoin d’avoir un cabinet, d’avoir un site Internet. Je suis pour cette solution-là".
"Les Français ont le droit de savoir"Et Nathalie Kosciusko-Morizet n’a pas souhaité commenter la relation que prête Closer à François Hollande et Julie Gayet, estimant que le "président de la République a droit à une vie privée", elle a toutefois lâché : "Les Français ont le droit de savoir deux choses : si la personne qui a été présentée comme Première dame est toujours la Première dame, et si, dans un mois, quand François Hollande rencontrera Barack Obama, s’il sera avec elle, ou avec une autre, ou tout seul". Des propos qui résonnent comme un véritable appel du pied à quelques heures seulement de la grande conférence de presse de François Hollande. A 16h30, le chef de l’Etat doit en effet s’exprimer devant quelque 600 journalistes pour annoncer le cap économique et social des douze prochains mois, mais aussi peut-être, pour clarifier sa situation personnelle.