Combat pour sa fille, amours, chirurgie esthétique... Les secrets d'Hélène de Fougerolles

Hélène de Fougerolles : sa relation avec sa fille autiste

Un témoignage fort et bouleversant. Le 14 février 2021, Hélène de Fougerolles était à l’honneur dans Sept à Huit qui lui a consacré le "portrait de la semaine". Interrogée par la journaliste Audrey Crespo-Mara, la célèbre actrice s’est épanchée avec émotion sur sa vie privée en évoquant sa fille unique Shanna. Née en 2003, la jeune adolescente souffre d’autisme depuis sa naissance.

Un combat au quotidien éprouvant pour Hélène de Fougerolles, qui s’est sentie coupable pendant de nombreuses années. "Il y a 15 ans, il n’y a pas de diagnostic possible, parce que soit un enfant est handicapé mental, soit un enfant va bien. Mais, il n’y a pas d’entre-deux", confiait la quadragénaire. "Donc là, on commence à nous dire qu’il y a un gros problème mais ils ne savent pas ce que c’est", en évoquant les spécialistes qu’elle a rencontrés.

C’est pourquoi la fille d’Hélène de Fougerolles et du producteur Éric Hubert a été placée dans un établissement spécialisé. "On n’a pas d’autre alternative que de la mettre dans ce qu’ils appellent un hôpital de jour. C’est un centre, un institut médical pour toutes les particularités qui sont liées à ce qu’ils appellent le handicap mental". Un mot difficile à entendre pour la comédienne qui n’a pu contenir ses larmes durant l’entretien télévisé sur TF1.

"Il y a certains mots qui ne passent pas encore aujourd’hui. Parce que ma fille n’est pas handicapée mentale pour moi ou déficiente mentale ! C’est des mots qui me reviennent encore aujourd’hui. Dans le sens où elle est différente, elle est particulière et c’est vrai que c’est quelque chose que je n’arrive pas à encaisser", raconte-t-elle avant d’ajouter. "On parle pas de la magnifique intelligence émotionnelle, l’empathie, la gentillesse, la bonté, le cœur de ces personnes-là".

L’occasion également pour la comédienne et autrice du livre T’inquiète pas, maman, ça va aller  de louer les qualités de sa fille Shanna. "Elle est pas handicapée mentale, elle est différente ! Elle est géniale vraiment ! Voilà, ils le voient pas, c’est leur problème".

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Hélène de Fougerolles : pourquoi a-t-elle quitté la série Balthazar ?

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Depuis 2018, Hélène de Fougerolles était l’une des stars de la fiction Balthazar avec Tomer Sisley sur TF1. Une série d’enquêtes médicales à succès qui a rassemblé jusqu’à 7 millions de téléspectateurs devant leur écran, selon Médiamétrie.

Après trois ans de bons et loyaux services, l’interprète du capitaine Hélène Bach a décidé de quitter la série, comme elle l’a annoncé sur Instagram en décembre 2020. "La saison 3 de Balthazar est finie ! C’est aussi la fin d’une merveilleuse aventure pour moi. Je ne participerai pas à la saison 4 (on ne pouvait pas continuer cette histoire de chien/chat indéfiniment ça aurait fini par vous lasser)", confiait-elle à ses fans avant d’évoquer ses "autres histoires, autres aventures professionnelles et personnelles" à venir en 2021.

L’occasion pour la grande comédienne d’avoir une tendre pensée pour les équipes qui ont travaillé avec elle. "Je suis infiniment reconnaissante d’avoir eu la chance de participer à cette série et à ce succès merci à TF1, aux producteurs Stéphane Marsil et Clothilde Jamin, merci aussi aux scénaristes et aux réalisateurs avec lesquels j’ai eu la chance de travailler ! Et bien sûr MERCIIIIIIII à mes partenaires chéris !! Vous allez me manquer".

Hélène de Fougerolles : pourquoi elle n'est plus polyamoureuse ?

Si Hélène de Fougerolles est d’ordinaire discrète sur sa vie privée, on lui a prêté plusieurs relations avec plusieurs personnalités. À l’aise avec sa sexualité, l’actrice française assumait pleinement sa vie de polyamoureuse. "Quand vous vous dites 'J'aime cette personne pour telles raisons, et cette autre personne pour telles autres raisons', vous ouvrez le champ des possibles", déclarait-elle ainsi sur Europe 1 en novembre 2020.

"Ce n’est pas de l’attraction sexuelle, car ce n’est pas le sexe qui m’anime, c’est de l’amour et de l’échange possibles avec plusieurs personnes. Partager des échanges amoureux avec des hommes ou des femmes, qui puissent être ouverts également à d’autres personnes", avouait la star de la fiction Trop jeune pour moi sur TF1 à nos confrères de Paris Match. 

Une nouvelle philosophie qui a changé la vie d’Hélène de Fougerolles, persuadant ses amants d’adhérer à cette relation libre. "Et je peux aussi vivre d’autres histoires avec des hommes et des femmes. Il n’y a pas encore de femmes mais j’adorerais. Il n’y a plus de jalousie, d’histoire de territoire. Love is the answer, je trouve ça complètement grotesque de le vivre avec une seule personne", assumait l’actrice ouverte à la pansexualité. "Je ne veux plus mettre d’âge ni de sexe sur les gens qui m’intéressent".

Aujourd’hui, l’actrice n’a plus la même vision de l’amour. Elle confie à Galaêtre "passée à autre chose". Cependant, elle ne regrette pas ses choix passés, bien au contraire : "j’ai aimé ne plus être obligée de rentrer dans ce schéma imposé qu’est le couple à deux, ne plus être sur un mode de possession avec son corollaire qu’est la jalousie, et vivre mon désir librement", raconte-t-elle à nos confrères.

Hélène de Fougerolles assume avoir cédé à la chirurgie esthétique

Hélène de Fougerolles est une comédienne qui a évolué au fil du temps dans sa carrière. Alors que la star revient pour une nouvelle saison de Sam, diffusée lundi 28 avril 2025 sur TF1, elle vient de terminer le tournage d’une autre fiction intitulée Apparences pour France 2. Elle joue une journaliste d’investigation qui se plonge dans l’univers de la chirurgie esthétique.

"Ce rôle m’a fait réfléchir à mon rapport au vieillissement", confie la quinquagénaire auprès de Télé 7 Jours. "A 52 ans, je commence à apprécier mes rides, même si j’ai déjà fait quelques retouches mineures. Il y a une vraie beauté à porter les marques que la vie nous laisse", affirme celle qui a déjà succombé au bistouri.

"Le chirurgien Marc Divaris m'a réparé le visage après un mauvais coup de raquette de Michaël Youn sur un tournage" révèle son ex-partenaire du film Incontrôlable au magazine Paris Match en 2012, en précisant avoir "aussi enlevé [son] grain de beauté à la commissure des lèvres. Je ne supportais plus ma marque de fabrique", citée par Purepeople.

En 2019, l’ex-acolyte de Tomer Sisley dans Balthazar faisait d’autres confidences sur la vieillesse avant le cap de la cinquantaine à Télé Loisirs. "Je commence à avoir des rides et je les aime bien, certaines d'entre elles en tout cas. C’est difficile de passer au travers de la médecine esthétique quand on est actrice" en ajoutant. "J’ai fait quelques petites choses. Et, quand c’est bien fait, on est tenté de recommencer. Mais je vais essayer de ne pas finir en poupée de cire !"

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