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Patrick Poivre d’Arvor. Le journaliste a en effet eu quelques démêlées avec la justice. Poursuivi par une de ses anciennes compagnes, il a essuyé une condamnation pour atteinte à la vie privée, mais aussi pour contrefaçon suite à la publication d’un ouvrage. Des soucis supplémentaires qui ont peut-être alourdi son moral déjà bien entamé.
Car Patrick Poivre d’Arvor est un être sensible, touché à plusieurs reprises par des drames familiaux. Des épreuves qui, depuis son enfance, semblent peser bien lourd sur ses épaules et qui lui donnent parfois l’envie de mettre un terme définitif à ses souffrances. A l’occasion d’un entretien sur les ondes de RMC, PPDA a lâché ces mots: ‘Quand vous souffrez trop, vous avez envie de disparaitre, que ça s’arrête.’
C’est dans L’expression des sentiments, son dernier livre, en librairie depuis le 3 novembre, que le journaliste parle de ses blessures personnelles, notamment la mort de sa mère en juillet dernier qui l’a beaucoup affecté. On se souvient aussi bien sûr de sa fille Solenn, qui s’est suicidée en 1995. Ce qu’on sait moins, c’est que dans la famille de Patrick Poivre d’Arvor, nombreux sont ses proches (oncles, cousins, neveux…) qui ont choisi d’en finir avec la vie.
Dans son ouvrage, PPDA écrit: ‘Je me sens proche de tous ces petits frères ou petites soeurs de souffrance. Parfois j'aimerais les rejoindre, au paradis des vies brisées. (...) Et puis je me retiens au bord du gouffre parce que je pense à la peine des rares êtres qui tiennent à moi.’ Souhaitons-lui de trouver la force de s’accrocher à ces pensées encore longtemps…
© Georges Seguin/wikimediacommons
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