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Entre Michel Drucker et la Provence, c’est une longue histoire. Au fil de sa carrière, l’animateur de Vivement Dimanche a connu plusieurs épreuves. De ses succès glorieux à ses problèmes de santé, l’homme de 81 ans ne compte pas prendre sa retraite pour le moment.
Quand il n’est pas sous le feu des projecteurs, Michel Drucker se met au vert en partant s’installer dans sa résidence secondaire situé dans le sud de la France. Plus exactement dans les Bouches-du-Rhône, au cœur du village des Alpilles, qu’il a trouvé son havre de paix. Une chic demeure provençale où l’époux de l’actrice Dany Saval a passé sa convalescence après son opération du cœur qui l’a tenue éloigné des médias.
"Cette maison, c’était mon rêve", affirme l’infatigable animateur dans les pages de Nice-Matin en août dernier. "Ça représente près de 60 ans de travail". C’est notamment dans cette belle propriété que repose aujourd’hui sa mère au cœur de ce cadre bucolique. Et le célèbre producteur n’a pas compté ses efforts pour construire cette bâtisse dans laquelle il aurait élu domicile depuis les années 1990, comme l’indique le journal Notre Temps.
"Le gars d’Eygalières" féru de cyclisme profite de cette maison familiale aux pierres blanches, abritant notamment une piscine, un champ de lavande, des oliviers et beaucoup de végétation. Pour autant, la construction de sa résidence secondaire a suscité quelques réactions parmi les locaux des environs.
En 2008, le fortuné Michel Drucker a obtenu le permis de construire pour établir sa villa de 290 m² dans le village d’Eygalières, comme l’indique le site Se Loger. Pourtant, l’année suivante, le document aurait été remis en cause par Ligue de défense des Alpilles. L’objet du conflit : les travaux de la maison se situaient à quelques mètres d’un édifice religieux classé "dans le champ de visibilité de la chapelle Saint-Sixte, inscrite à l'inventaire des monuments historiques".
Après un premier verdict donné en faveur de l’animateur Michel Drucker, la Ligue de défense des Alpilles a déposé une seconde plainte en 2010. Entre désaccords et "querelle de clocher", un nouveau jugement donnera finalement raison, deux ans plus tard, au présentateur qui pourra enfin construire sa maison du bonheur en Provence.