De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Joana Balavoine se consacre pleinement à la musique
Joana Balavoine est mordue de musique, tout comme son père et les autres membres de sa famille "J’ai grandi dans la marmite : ma mère était aussi dans le milieu artistique. J’ai dessiné, j’ai voulu faire de la photo, et plein d’autres choses. Mais c’était plus fort que moi" assure-t-elle. La jeune trentenaire a pris des cours pour se performer à cet art et s'est inspirée des musiciens appréciés de la famille, comme Tears for fear, New Order ou encore les Beatles "C’est une musique que j’ai digérée et qui ressort dans ce que j’aime. Il y a des influences. Oui, j’adore les claviers, les rythmiques et les programmations". Quant à la question de savoir si la jeune femme ne craint pas les remarques malveillantes sur un éventuel pistonnage" dû à sa parenté, elle répond : "Peu importe ! C’est ma route et je sais qu’il y aura toujours des gens qui ne me jugeront qu’à travers lui, d’autres qui seront bienveillants. D’autres encore qui diront : “Elle a bien bossé.” Le plus important, au final, c’est que la musique, c’est ma vie.". Voilà qui est dit !
Joana Balavoine a rejeté son père pendant longtemps... avant d'assumer ses racines !
Bien qu'elle ne l'a pas connu (son père est mort 5 mois avant sa naissance), Joana Balavoine n'a pas eu envie de s'identifier à ce père trop "présent". "D’abord, je l’ai beaucoup rejeté. Les gens me parlaient d’un mec que je ne connaissais pas. D’un homme qui semblait leur appartenir et qui n’était pas à moi. Il y a ce paradoxe entre son absence et sa présence permanente." se souvient-elle. Finalement, elle est parvenue à accpeter cette part d'engagement, de révolte qui est en elle et que lui a transmis, malgré tout, son père : "A force d’entendre les gens me dire que je lui ressemble, que j’ai parfois un comportement similaire, que je m’emporte avec la même fougue, j’ai accepté de ressembler à ce mec, tout en ne sachant pas réellement qui il était."
Joana Balavoine : son frère est le premier homme de sa vie
Si Joana a grandi sans papa, elle a pu compter sur le soutien indéfectible de son frère. "Mon grand frère, le premier homme de ma vie… On a passé notre enfance collés l’un à l’autre. Je l’aime, je suis admirative de son exigence, de son intransigeance. Il m’a protégée de pas mal de conneries." rapporte-telle aux journalistes de Paris Match. Tous deux sont devenus les ayants droits de leur père et font en sorte, depuis 30 ans, de protéger au mieux son oeuvre et de ne pas transiger sur ses valeurs. "Parfois, mon frère et moi avons dit non. Mais on ne peut pas tout contrôler, et ce n’est pas évident de gérer cet extraordinaire patrimoine. Daniel Balavoine, ce n’est pas nous, c’est lui. Nous ne sommes que son prolongement.". Une belle preuve d'amour et de respect...