De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
i s’est toujours montrée discrète dans les médias durant la présidence de Nicolas Sarkozy, et encore plus depuis que son mari n’est plus au pouvoir. L’ex-Première dame reprend enfin la parole dans une longue interview accordée à ELLE. L’occasion d’aborder la question de Valérie Trierweiler et de sa position aux côtés de François Hollande à la tête de l’Etat. Carla Brun
Carla Bruni affiche beaucoup de bienveillance envers Valérie Trierweiler et refuse de porter le moindre jugement de valeurs sur les débuts chaotiques de la nouvelle Première dame, et notamment sur son fameux tweet contre Ségolène Royal. « Je déteste les curées médiatiques » explique l’ancien top. « Par ailleurs, Valérie Trierweiler se trouve dans une situation très difficile, que j’ai moi même traversée, et je me refuse à la juger. Je crois qu’elle n’avait simplement pas mesuré la différence entre avant et après, et c’est normal, a-t-elle plaidé. De plus, elle est journaliste, c’est son métier de donner son opinion sur les choses. Elle a très bien compris où elle se trouvait, à présent. Qui n’a pas fait d’erreur dans la vie ? »
Et elle ne souhaite donner de conseils à personne, Carla Bruni semble tout de même souffler un petit tuyau à Valérie Trierweiler : épouser François Hollande pourrait lui faciliter la vie. « Je ne me permettrais pas de donner des conseils à quiconque, je ne parle que de mon expérience, mais il me semble qu’il est plus simple d’être l’épouse légitime du chef de l’Etat que sa compagne. La présidence de la République est un lieu officiel qui implique des situations officielles » explique Carla Bruni. « Peut-être que je me trompe et que leur choix est moderne, mais, pour ma part, j’ai senti un apaisement véritable de l’inquiétude générale à mon égard lorsque que j’ai épousé Nicolas. C’est à travers cet engagement intime que, curieusement, j’ai trouvé ma place dans la vie publique ».
« J’ai eu un contact chaleureux avec Valérie Trierweiler et j’ai de la sympathie pour elle. On était toutes les deux dans une situation très particulière ce jour-là, mais il y a eu de la chaleur dans cette rencontre et de l’humanité aussi. On a pris un café, j’ai eu plaisir à l’accueillir et à parler vingt minutes avec elle, mais nous n’avons pas abordé les détails de la fonction » indique Carla Bruni en parlant de la passation de pouvoir entre Nicolas Sarkozy et François Hollande en mai dernier, et en profite pour revenir sur certains propos de Valérie Trierweiler qui auraient pu porter à confusion. « Elle m’a dit très gentiment que, dans une interview, elle avait dit qu’elle ne serait pas une potiche mais qu’elle ne pensait pas du tout à moi en disant cela. Je lui ai répondu que je savais très bien comment ses paroles avaient pu être transformées. Et j’en ai profité pour lui dire que je m’étais volontairement mise dans cette position passive car c’est de loin la plus simple ! »
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