De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Comme il l'avait déclaré dès le début de sa campagne, Robert Ménard compte interdire les paraboles sur les façades du centre historique de Béziers. Le maire a annoncé cette décision ce mercredi au cours de l'émission Les Grandes Gueules sur RMC. L’édile biterrois cherche ainsi à rendre le centre-ville plus attractif et élégant. Il a d’orès et déjà fait interdire d’étendre son linge aux fenêtres entre 6 heures et 22 heures.
Le fondateur de Reporters sans Frontières (RSF) a annoncé son intention d'interdire les paraboles dès la semaine prochaine. "Dans le centre-ville ça défigure les façades. Les gens mettront leurs paraboles sur les toits", a-t-il expliqué.
Robert Ménard justifie cette mesure par la nécessité de conserver la beauté d’un centre ville classé. "J’ai une ville superbe, un quartier qui est un joyau avec tout un tas d’immeubles haussmanniens. J’essaie de protéger ça parce que j’ai besoin d’attirer des touristes, j’ai besoin que ce soit beau et élégant", a déclaré l’ancien journaliste.
A l’accusation qu’il lui a été faite par un auditeur de l’émission de stigmatiser en permanence la même population, le maire a assuré qu’il "ne vise personne d’autre que les personnes qui salopent les façades". Selon lui, l’interdiction touchera uniquement "la bourgeoisie Biterroise".
Le maire s’est ensuite lancé dans une comparaison ironique : "Béziers est une ville classée, il ne faut pas rigoler, mettons les paraboles sur Notre-Dame de Paris tant qu’on y est".