De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Tel est pris qui croyait prendre. Avant de faire carrière dans la chanson, Carla Bruni a été l’une des mannequins les plus populaires des années 90. L’occasion pour la star d’arpenter les plus grands défilés de mode et d’être convoitée par de nombreuses personnalités, comme Donald Trump.
Dans un entretien au site web américain TheDaily Beast, paru ce 28 septembre, l’épouse de Nicolas Sarkozy est revenue sur sa prétendue liaison qu’elle aurait eue avec l’actuel président des États-Unis. Si ces rumeurs – affirmant qu’il aurait quitté sa compagne Marla Maples pour la belle italienne – sont totalement fausses selon Carla Bruni, l’ex-mannequin en a profité pour lui tendre un piège.
Dans le livre Lost Tycoon: The Many Lives of Donald J. Trump, relayé par The Daily Best, on apprend que Carla Bruni aurait demandé l’aide de Donald Trump pour héberger sa sœur pour un séjour au Plaza Hôtel, palace new-yorkais appartenant au riche businessman dans les années 1980. Pourtant, il s’avère que cette "sœur" n’était qu’un prétexte pour couvrir une amie de longue date et son chéri de passage en ville.
Une liaison inventée de toute pièce par Donald Trump
"Carla et ses amis ont passé les jours suivants à commander un service de chambre et à se réjouir de la façon dont ils avaient trompé le 'roi de Tacky' (surnom donné à Donald Trump, NDLR)", souligne le média américain. Durant ce même entretien, Carla Bruni a révélé qu’elle avait passé un savon par téléphone au milliardaire et de régler ses comptes avec lui. "Il a tout inventé, alors je lui ai téléphoné et il m’a dit 'Oh, ça n’a pas d’importance. Cela vient des journalistes'. Et j’ai dit 'C’est faux ! Nous ne nous sommes jamais vraiment rencontrés ! Comment cela peut-il venir d'un journaliste ?!'" Une situation embarrassante pour l’ex-Première dame, choquée par son attitude étrange.