Une conductrice a saisi le Conseil d'État après avoir reçu une contravention pour stationnement. Et la juridiction lui a donné raison. Explications.
C’est un état de fait : les villes moyennes profitent du coronavirus. La crise sanitaire a bouleversé bien des secteurs économiques, dont celui de l’immobilier. Il s’avère que, désormais, les acheteurs préfèrent les agglomérations de taille intermédiaire ; pour peu qu’elles restent proches des grandes villes qui doivent rester aisément accessibles.
C’est en tout cas ce qui ressort du récent bilan de pouvoir d’achat immobilier publié par le site spécialisé Meilleurtaux.com, qui constate une hausse des prix plus importante dans les villes moyennes, plus que dans le reste des métropoles. Plusieurs municipalités sont tout particulièrement concernées, indique 20 minutes : c’est notamment le cas du Mans, de Toulon ou d’Angers.
Pour autant, si vous espérez acheter plutôt que vendre, il existe certains départements particulièrement peu onéreux. Chaque région compte son lot de municipalités peu chères et sur la base des calculs du site spécialisé Immobilier notaire, Planet vous propose d’en découvrir certaines en diaporama.
Immobilier : les départements les moins chers région par région
En effet, d’un département à l’autre (et ce, y compris dans une même région), les tarifs au mètre carré sont susceptibles d’osciller considérablement. Ainsi, à titre d’exemple, en Bretagne la moyenne globale varie entre 1250 euros au mètre carré (fourchette basse) et 2480 euros au mètre carré (fourchette haute). Mais dans le Finistère, pour ne citer que lui, le prix médian est estimé à 1 500 euros euros au mètre carré. Ce n’est donc peut-être pas le meilleur département dans lequel investir, pour quiconque cherche à faire des économies...