De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
"On ne peut pas être heureux partout, je suis très heureux en amour", assénait peut-être un peu amer Benjamin Castaldi, sur le plateau de TPMP le 5 février 2020. Il évoquait alors sa situation financière. "Je n’ai plus rien, que des dettes", a-t-il notamment déclaré.
Ainsi, l’animateur a dit avoir été victime d’une arnaque immobilière en 2003, rapporte Télé Loisir. Riche, à l’époque, il avait décidé d’acheter un immeuble. Lequel lui aurait "coûté une fortune". "15 ans après, l’immeuble ne vaut pas grand chose, on arrive pas à le vendre, et surtout j’ai dû payer un crédit. J'avais investi à Tulle, c’est pas le meilleur endroit… L’immeuble a été saisi entre temps mais je suis toujours en procès", a-t-il détaillé.
Ce n’est pas le seul mauvais investissement de la star du petit écran, désormais devenue chroniqueur. Il révèle aussi avoir acheté, quand il avait de "l’oseille", un hôpital. Un choix qu’il regrette visiblement aujourd’hui, puisqu’il déclare l’avoir fait "tout seul comme un grand con".
Benjamin Castaldi : avant sa ruine, était-il riche ?
Pourtant, la malchance de Benjamin Castaldi n’a pas toujours été un état de fait. D’après le Huffington Post, qui se base d’ailleurs sur les propos du principal intéressé, il touchait quelques 2 160 000 euros en quinze mois de tournage pour TF1. Ce qui représente tout de même 12 000 euros par épisode de "1 contre 100". "Il faut comprendre qu’il y a, d’un côté les animateurs, et de l’autre, les animateurs-producteurs. Quand un animateur produit son émission, il peut vous dire qu’il gagne 1000 euros comme animateur alors que de l’autre côté, il gagne 25 000 comme producteurs", expliquait d’ailleurs le chroniqueur sur le même plateau, en 2018.
Ses sociétés, rappellent BFMTV, lui ont aussi rapporté beaucoup d’argent. La vente de JES Prod, dont la chaîne d’information parlait en 2015, lui a permis d’engranger 3,5 millions d’euros. L’entreprise a fermé en 2011.
Avant cela, il avait réussi à vendre deux fois de suite sa première société, B3Com. Dans un premier temps, Lagardère en rachetait 50% du capital en 2003, pour 1,5 millions d’euros. Plus tard, en 2005, il revend 51% du capital à Claude Carrère pour la modique somme de 3,75 millions d’euros. Après, évidemment, avoir racheté les 50% initialement cédés à Lagardère, sur lesquels il a d’ailleurs fait une large plus-value.