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Alors que le ministre de l'Education nationale a usé de mots familiers sur France Info, retour sur ses coups d'éclat médiatiques.
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Valls sur le départ ? "Des bruits de chiottes"

 

Invitée mardi matin sur la radio France Info, Najat Vallaud-Belkacem n'a pas eu sa langue dans sa poche au moment de commenter les rumeurs faisant état d'un départ de Manuel Valls de Matignon. "Cela fait bientôt vingt ans que je fais de la politique et je ne me suis jamais prêtée aux bruits de chiottes qui consistent à raconter des choses qui n'ont pas à être racontées", a-t-elle lâché devant le journaliste étonné de cette réponse.

"J'ai découvert grâce à Internet que j'attendais mon troisième enfant"

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Un mois plus tôt, début février, alors que le ministre de l'Education présentait son plan pour lutter contre les théories du complot chez les jeunes, elle avait ironisé sur les rumeurs qui l'entourent. "Ces derniers temps, j'ai découvert avec insistance grâce à Internet que j'attendais mon troisième enfant. Ce qui fait naturellement le bonheur de mon mari", avait-elle déclaré devant un auditoire hilare. 

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Najat Vallaud-Belkacem se fait remarquer physiquement

 

Toujours le mois dernier, Najat Vallaud-Belkacem s'était fait remarquer, cette fois-ci non plus verbalement mais physiquement. En effet, lors de la traditionnelle photo à chaque nouveau gouvernement, le ministre de l'Education s'était trompé de place, prenant celle de... François Hollande. Elle s'était fait reprendre alors par Jean-Marc Ayrault qui lui avait ensuite indiqué sa bonne place.

Quand le ministre de l'Education... fait des fautes

Début février, en pleine polémique sur la réforme de l'orthographe, Najat Vallaud-Belkacem s'était fendue d'un tweet en réponse aux articles du Figaro, journal opposé à ladite réforme. Sauf que dans son tweet, se trouvaient deux erreurs : l'une de syntaxe, l'autre de conjugaison. "Bien qu’appliquée [la réforme] en 2008, je" ; il fallait aussitôt écrire "elle" ou "la réforme", sujet d’"appliquée".  D’autres part, elle s’est trompée dans la concordance des temps : "Je n’ai pas le souvenir que Le Figaro la critiquât" ; il fallait écrire le(s) subjonctifs(s) "l’ait (ou l’eût) critiquée".

Son "malaise" à Canal + devant un bénévole musulman

 

En janvier dernier, Najat Vallaud-Belkacem avait fait grand bruit... par son silence. Invitée sur le plateau de l'émission "Le Supplément" de Canal +, le ministre de l'Education nationale avait eu un silence gêné après avoir entendu le président d'une association musulmane dire qu'il refusait de serrer la main des femmes et, surtout, qu'il refusait de condamner les agissements de Daech. Suite à quoi, le ministre de l'Education nationale avait été la cible de nombreux politiques qui lui repprochaient de ne pas s'être élevée contre les propos du bénévole.