Ce lundi 25 novembre est celui de la journée internationale de lutte contre la violence faite aux femmes. Zoom sur The Sorority, cette application réservée aux femmes et aux minorités de genre qui propose de leur...
Tout s'est passé durant l'été 2020, dans une chambre d'hôtel de Bormes-les-Mimosas. Mais pas n'importe quelle chambre, rapporte le magazine people Gala, qui se base sur les informations révélées par Le Point. La chambre dont il est question était celle de l'un des policiers appartenant au groupe de sécurité de la présidence de la République et était, dès lors, installée en face du Fort de Brégançon. Comme tous les étés, c'est là que Brigitte et Emmanuel Macron avaient décidé de séjourner avant de revenir à l'exercice de leurs fonctions, à Paris.
S'il n'avait pas été membre du GSPR, tout aurait pu être anodin. Mais l'agent fautif, dont le comportement supposément inapproprié a fait l'objet d'une dénonciation, n'est pas un individu normal. C'est pourquoi il ne pouvait pas faire ce qu'il a fait : faire monter une femme, encore inconnue quelques heures plus tôt, dans sa chambre d'hôtel. Il l'avait rencontrée dans un bar plus tôt dans la journée, note encore le tabloïd. Depuis, l'affaire ronge les sang du colonel Benoît Ferrand, directeur du groupe de sécurité.
Comment l'affaire a-t-elle été connue ?
C'est un salarié de l'établissement qui a fini par alerter le colonel au sujet du comportement de son agent. Ce dernier a depuis souhaiter sanctionner le garde du corps, jugeant son attitude "incompatible avec l'habilitation secret défense des membres du GSPR". Il a demandé à Emmanuel Macron s'il était possible de le changer d'affectation.
Reste aujourd'hui à savoir si l'homme sera bel et bien sanctionné : dans l'immédiat, le chef de l'Etat n'a pas tranché et l'agent continue à priori d'assurer sa protection, ainsi que celle de son épouse.