De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Une bombe à retardement. La deuxième vague de coronavirus Covid-19 est bel et bien là et le gouvernement a d’ores et déjà prévenu que le mois de novembre serait difficile pour les Français. Le nombre de contaminations est en hausse constante, tout comme les hospitalisations et les décès. Face à un retour du virus qui s’annonce pour certains médecins plus dur encore que la première fois, l’exécutif doit prendre des décisions dans les prochains jours. Un reconfinement localisé ou généralisé ? Une extension du couvre-feu ? Seuls Emmanuel Macron et son Premier ministre ont les réponses. Le coronavirus circule activement sur l’ensemble du territoire, mais une petite poignée de départements s’en sortent mieux que d’autres. A l’inverse, plusieurs zones du territoire inquiètent un peu plus les autorités et deux régions en particulier…
Des taux d’incidence particulièrement élevés
La première, c’est l’Auvergne-Rhône-Alpes, considérée comme un nouvel épicentre de l’épidémie. Saint-Etienne, Grenoble, Lyon, Clermont-Ferrand… Aucune ville n’échappe à cette importante reprise du virus. Résultat, les hôpitaux sont au bord de la saturation, avec des services de réanimation sous tension et du personnel toujours plus débordé par les nouveaux patients. Ardèche, Loire, Haute-Loire, Rhône, Isère, Savoie, Haute-Savoie, Ain… Huit des douze départements de la région ont un taux d’incidence situé entre 500 et 1000 pour 100 000 habitants.
Une autre région commence à inquiéter les autorités, les Hauts-de-France. Pour l’heure, seulement un de ses départements, le Nord, a un taux d’incidence entre 500 et 1000 pour 100 000 habitants. Les quatre autres sont au niveau inférieur avec un taux compris entre 250 et 500, mais le virus circule de plus en plus vite. Preuve en est, l’Agence régionale de santé des Hauts-de-France vient de lancer un appel aux étudiants pour venir en aide aux établissements sanitaires ou médico-sociaux.