Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Premier cas officiel de tricherie au bac, et pas des moindres. Une femme de 52 ans a tenté de remplacer sa fille lors de l’épreuve d’anglais du baccalauréat, dans un lycée du Xe arrondissement de Paris. Convaincue qu’elle passerait inaperçue, elle s’affuble de basket et d’un jean taille basse, se maquille pour l’occasion et se rend en salle d’examen.
Au moment de ramasser les cartes d’identité une surveillante découvre la supercherie. Il faut dire qu’une différence de 33 ans, ça ne passe pas inaperçu. Une autre surveillante avait déjà vu sa fille lors d’une épreuve précédente.
Le proviseur du lycée privé Bossuet Notre-Dame a immédiatement prévenu le commissariat "d’une tricherie en cours". A l’arrivée de la police, la femme ne se démonte pas et continue de prétendre qu’elle est âgée de 19 ans. Puis, forcée, elle reconnait avoir usurpé l’identité de sa fille qu’elle dit malade…
Des sanctions administratives et pénalesLa police a ensuite conduit la mère au commissariat du Xe où elle a été entendue. Elle aurait avoué avoir usurpé l’identité de sa fille dans l’optique d’améliorer les résultats d’anglais de cette dernière.
La sanction pénale encourue peut être une peine d’emprisonnement et une amende pouvant atteindre 9 000 euros. Pour la vraie candidate (la fille), les sanctions administratives vont du simple blâme à l’interdiction durant 5 ans de se présenter à des examens ou même de s’inscrire dans l’enseignement supérieur.