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Si Koh-Lanta : L'Ile des héros fait un carton d'audience tous les vendredis soirs sur TF1, les téléspectactateurs sont néanmoins nombreux à se plaindre de la courte durée des derniers épisodes. Ce mardi 28 avril, Denis Brogniart a annoncé une nouvelle qui va sans aucun doute ravir les fans du jeu d'aventure. "Je peux vous donner la bonne nouvelle. [...] Vendredi, ce sera un épisode complet et vendredi prochain à nouveau un épisode complet", a annoncé l'animateur dans Culture médias sur Europe 1.
Le souhait de la production pour l'épisode final de Koh-Lanta : L'Ile des héros
Denis Brogniart explique pourquoi TF1 avait choisi de raccourcir les derniers épisodes de Koh-Lanta : L'Ile des héros. "Nous avons pris cette décision afin de retarder la finale le plus possible, et qu'elle puisse donc se dérouler comme prévu en direct", s'est justifié l'animateur. En effet, la crise sanitaire ne permet pas de réaliser la traditionnelle cérémonie finale en direct. "On rêve d’avoir une finale avec les 20 aventuriers autour de moi avec évidemment des mesures de précaution. Mais on voudrait que tout le monde soit présent pour fêter la fin de cette saison qui est absolument formidable en audiences", a-t-il conclu. Cependant, l'animateur prévient que d'autres épisodes pourraient être raccourcis avant la grande finale.
Au cours de cette interview, Denis Brogniart s'est de nouveau exprimé sur les menaces de mort qu'ont reçu certains candidats. Après avoir poussé un coup de gueule sur ses réseaux sociaux, il annonce que la société de production de Koh-Lanta a décidé de porter l'affaire devant la justice et soutien pleinement cette décision. "Il faut que l'on retrouve les pires de ces gens. [...] Si on fait des cas d’exemple, ça peut faire taire les autres", a déclaré l'animateur rappelant que les menaces de mort constituent un délit puni par la loi d'une peine de prison et d'une forte amende. Denis Brogniart a d'ailleurs lancé un appel aux patrons de Facebook, Instagram et Twitter, leur demandant de mieux sécuriser les inscriptions sur leur réseaux sociaux, de manière à ce que la police puisse retrouver les auteurs de menaces et d'insultes. "Aujourd'hui, il faut trois secondes pour avoir un compte Instagram, sans donner votre nom, et pouvoir dire des insanités à n'importe qui", a-t-il déploré.