Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Elle devrait être à l’abri du besoin pendant un certain temps. Six mois après sa rupture avec François Hollande, Valérie Trierweiler doit jubiler. Non seulement elle tient sa revanche sur celui qui l’a remerciée par communiqué de presse, mais en plus elle en tire profit. Selon les informations du Figaro, Merci pour ce moment s’est vendu à 442 000 exemplaires en seulement 16 jours. Et alors que le livre coûte 20 euros, environ 9 millions d’euros de recettes auraient été enregistrés. Ce qui ferait déjà un joli pactole estimé à 1,3 millions d’euros pour son auteure, Valérie Trierweiler.
A lire aussi -Valérie Trierweiler : les conséquences de son livre sur François Hollande
Une astuce pour être moins lourdement imposée
Toujours selon le journal, l’ancien Première dame aurait négocié "100 000 euros d’avance sur recette" avec son éditeurs Les Arènes puis, "des paliers sur les ventes de 10% du prix de vente du livre pour les 15 000 premiers exemplaires, puis 12% jusqu’à 30 000 euros et enfin 14% sur le reste". Autre information apporté par le quotidien, et pas des moindres : Valérie Trierweiler aurait la possibilité d’étaler fiscalement ses droits d’auteur sur cinq ans. Ce qui lui permettrait d’être moins lourdement imposée.
Dans son livre, Valérie Trierweiler expliquait justement qu’au lendemain de sa rupture avec François Hollande, elle s’inquiétait de savoir comment elle allait dorénavant subvenir à ses besoins et à ceux de ses trois fils dont elle a la charge. Au début du mandat de son ex-compagnon, la journaliste a en effet renoncé à certaines de ses missions, notamment politiques, pour ne pas être accusée de conflit d’intérêts. Une préoccupation qui semble aujourd’hui bien loin…
A lire aussi –Rupture Hollande-Trierweiler : combien cela va coûter au président
Vidéo sur le même thème : Hollande et les "sans-dents" : Trierweiler menace de publier des preuves