De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Dans une interview au quotidien Svenska Dagbladet, le couple explique sa démarche : "Nous voulons que Pop grandisse librement, et non dans un moule d'un genre spécifique. C'est cruel de mettre au monde un enfant avec un timbre bleu ou rose sur le front. Aussi longtemps que le genre de Pop restera neutre, il ne sera pas influencé par la façon dont les gens traitent les garçons ou les filles".
Une méthode en vogue dans les crèches
Les parents de Pop sont inspirés par la "théorie du genre" très en vogue dans le pays nordique, pour qui le genre est une invention sociale. Ainsi plusieurs crèches ont choisi de gommer les différences entre garçon et fille en les désignant par un pronom neutre. Combattre le sexisme ambiant, donner un maximum de possibilité à son enfant au lieu de le limiter : tels sont les objectifs affichés par un mouvement qui a le vent en poupe.
Des théories qui rencontrent un écho certain dans la classe politique française. Avant la disparition du "père" et de la "mère" dans le code civil, la proposition d'une députée PS de débaptiser l'école "maternelle", la ministre déléguée à la famille, Dominique Bertinotti, avait vanté en 2012 les mérites d'une crèche de Saint-Ouen qui ne différenciait pas filles et garçons dans le but de combattre "les clichés". Alors, Pop, simple exemple d'éducation rock'n'roll ou bien future norme éducative ?