Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné vendredi 19 septembre Jean-Sébastien Vialatte à 2000 euros d'amende assortis de 4000 euros de dommages et intérêts. Il était poursuivi pour "provocation à la haine raciale" pour avoir publié un tweet qui qualifiait des casseurs de "descendants d'esclaves".
L'élu UMP réagissait aux violences observées en marge de la célébration en mai 2013 du titre de champion de France par les supporters du PSG au Trocadéro. Face à ces dérapages, le député avait posté : "Les casseurs sont sûrement des descendants d'esclaves. Mais ils ont des excuses. Taubira va leur donner une compensation". Ce dernier avait rapidement effacé ce tweet suite à l'indignation des internautes. En vain .
Le tribunal a estimé que ces propos visaient "l'ensemble de la communauté noire" et "ne pouvaient être légitimés par le 'débat libre d'opinion d'idée'" a rapporté l'AFP. Dès le lendemain, l'élu avait présenté publiquement ses excuses et s'était engagé auprès de la Fondation du mémorial de la traite des Noirs à organiser trois actions de soutien (ce qu'il a réalisé).
Son compte Twitter est inactif depuis le mois de juin 2013.