Parmi les 51 hommes accusés d’avoir violé Gisèle Pelicot, Christian L., un pompier professionnel, est également jugé pour détention d’images pédopornographiques. Sa compagne a été entendue comme témoin...
Certaines émissions pourraient prochainement être bannies de nos écrans avant une certaine heure. Dans un entretien accordé au Figaro et dévoilé ce mercredi, Françoise Laborde, l’une des membres du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a en effet évoqué la possibilité de repousser après 22 heures la diffusion de certaines émissions de téléréalité. Une décision qui, selon elle, ferait suite à une recommandation du CSA datant de 2005.
Pas de scènes de violence entre 6 et 22 heures
Celle-ci prévoyait notamment d’interdire la diffusion d’images violentes pendant une certaine tranche horaire. Ce rapport rappelait par ailleurs que le CSA "doit veiller à la protection de l’enfance et de l’adolescence" mais également "assurer la protection du jeune public contre les programmes susceptibles d’avoir sur lui des effets nocifs". En conséquence, il incombe à chaque chaîne de télévision de "veiller à ce que, entre 6 heures et 22 heures et a fortiori dans la partie consacrée aux émission destinées à la jeunesse, la violence, même psychologique, ne puisse être perçue comme continue omniprésente ou présentée comme unique solution aux conflits".
"Rien à voir à la violence de la téléréalité"
Et alors que cette annonce fait suite au décès d’un candidat de Koh-Lanta pendant le tournage de l’émission, Bernard Villegas, le fondateur de The Wit, une société d’observation des médias audiovisuels, a confié à 20 Minutes que "ce qui s’est pas (dans l’émission de TF1) n’a rien à voir avec la violence de la téléréalité".