De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Quelques jours après la polémique sur la privatisation d'une piscine à Marseille pour une sortie en "burkini", le maire (LR) de Cannes a décidé de légiférer.
Comme le rapporte 20 minutes, reprenant une information de l'AFP, David Lisnard a pris le 28 juillet un arrêté municipal interdisant sur les plages de Cannes le port de cette combinaison qui recouvre intégralement le corps.
Selon cet arrêté, "l’accès aux plages et à la baignade sont interdits à compter de la signature du présent arrêté jusqu’au 31 août 2016, à toute personne n’ayant pas une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et de la laïcité, respectant les règles d’hygiène et de sécurité des baignades adaptées au domaine public maritime".
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"Il ne s’agit pas d’interdire le port de signes religieux à la plage"
L’arrêté ajoute que "le port de vêtements pendant la baignade ayant une connotation contraire à ces principes est également interdit". "Toute infraction fera l’objet d’un procès-verbal et sera punie de l’amende", de 1ère catégorie, soit 38 euros, est-il écrit.
Selon l’arrêté du maire, "une tenue de plage manifestant de manière ostentatoire une appartenance religieuse, alors que la France et les lieux de culte religieux sont actuellement la cible d’attaques terroristes, est de nature à créer des risques de troubles à l’ordre public (attroupements, échauffourées, etc.) qu’il est nécessaire de prévenir".
"Il ne s’agit pas d’interdire le port de signes religieux à la plage" prévient Thierry Migoule, directeur général des services de la ville de Cannes, "mais les tenues ostentatoires qui font référence à une allégeance à des mouvements terroristes qui nous font la guerre", des tenues que l’on commence à observer à Cannes depuis l’an dernier, selon lui.
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