De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
La maison de Castaner "attaquée" par les gilets jaunes : coup dur pour le ministre
Pris pour cible. En première ligne face à la mobilisation des gilets jaunes, Christophe Castaner fait preuve de fermeté. Il n’hésite d’ailleurs pas à dénoncer les comportements violents de certains manifestants.
Et ceci ne semble pas plaire à tout le monde. Il a révélé vendredi 23 novembre, lors d’une rencontre avec les lecteurs du Midi Libre à Nimes, que son domicile a été pris d’assaut par certains gilets jaunes.
"Il y a eu des violences, des insultes, des attaques racistes, antisémites, homophobes. À l’inverse, ma maison personnelle à Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence), où j’ai ma femme et ma fille, a été attaquée hier (jeudi 22 novembre) par les gilets jaunes. Ils étaient là devant à faire des selfies, à poster des messages sur Facebook. Je trouve ça insupportable. Qu’ils m’attaquent, qu’ils m’insultent, qu’ils trouvent que je sois nul, je l’entends... Mais qu’on ne touche pas à ce qui relève du privé", s’est-il indigné.
La maison de Castaner "attaquée" par les gilets jaunes : ce n’est pas la première fois…
Le ministre a précédemment connu d’autres déboires.
Alors qu’il était à la fois porte-parole du gouvernement et maire de Forcalquier, la même maison avait été vandalisée de nuit, comme le révélait France Info en juillet 2017.
"Castaner nous aussi on va te vacciner, fais attention" pouvait-on lire sur le mur d’enceinte de son domicile et sur d’autres murs de la commune.
En cause ? L’annonce faîte par la ministre de la Santé, Agnès Buzin. Elle voulait rendre obligatoires 11 vaccins pour les enfants de moins de deux ans, dès 2018.