Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Ils se sont illustrés par leurs propos hilarants. Le jury du Prix Press Club a décidé de les en récompenser. Comme chaque année, les hommes et les femmes politiques du pays vont recevoir un prix pour toutes les petites phrases plus ou moins drôles qu’ils ont prononcées au cours de ces douze derniers mois. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’à l’UMP on ne manque pas d’humour ! En témoigne la première sélection dévoilée mardi par le jury. Quatre des cinq personnalités politiques sélectionnées sont en effet encartées UMP tandis qu’une seule est du PS.
Sans Nicolas Sarkozy "il n’y aurait plus de démocratie"En pole position, on retrouve ainsi Henri Guaino. Député des Yvelines et ancien conseiller de Nicolas Sarkozy, il a déclaré il y a quelques semaines que si l’ancien président de la République "n’avait pas été là, il n’y aurait plus de démocratie en France, en Europe et dans le monde". Vient ensuite le maire de Bordeaux Alain Juppé. "En politique, on n’est jamais fini. Regardez-moi !", a lâché celui qui a été condamné en 2004 à 14 mois de prison avec sursis et à un an d’inéligibilité dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris.
"Ça n’existait pas avant que les portables existent"Toujours à droite, on retrouve également Nadine Morano, l’ex-ministre en charge de l’Apprentissage qui s’est distinguée en estimant : "On a une recrudescence de violence… par exemple le vol de portables à l’arraché. Ça n’existait pas avant que les portables existent". Valérie Pécresse, la secrétaire générale déléguée de l’UMP, n’est cependant pas en reste avec sa phrase : "On a besoin d’une Angela Merkel en France et cela peut être un homme".
François Hollande pourrait être classé hors-sélectionEnfin, seul parmi ces cadres de l’UMP, arrive Arnaud Montebourg. Le ministre du Redressement productif doit notamment sa place à ces propos : "Je crois à un retour de Nicolas Sarkozy ; mais menotté". François Hollande pourrait toutefois le rejoindre mais dans une catégorie hors-sélection pour avoir dit un jour lors d’un entretien accordé aux Echos : "Quand ça va bien, on devrait se rappeler que ça ne va pas durer. Et quand ça va mal, on peut penser que cela pourrait aller plus mal ou que ça ne va pas durer".