De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Voilà une façon de parler qui diverge avec l’image de gendre idéal dont on peut se faire de Bruno Le Maire. L’ancien ministre de l’Agriculture, connu plus souvent pour tenir des propos mesurés, s’est fendu d’une sortie qui ne lui ressemble guère.
Dans un portrait que lui a consacré Le Point paru ce jeudi, que Le Lab a repéré, le candidat à la présidence de l’UMP a estimé que son parti avait besoin d’un leader qui… en a dans le pantalon dirons-nous.
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"A la tête de l'UMP, il faut quelqu'un qui a des couilles ! " a-t-il indiqué avant de se reprendre "pardonnez-moi cette expression, retirez-là même". Trop tard.
Candidat déclaré à la tête du parti d’opposition, peut-être parlait-il de lui en ces termes. Comme le rappelle Le Lab, ce n’est pas la première fois que Bruno Le Maire évoque le rôle des parties génitales en politique.
Au moment de la guerre Copé/Fillon, ce dernier pestait contre le terme "non-aligné" dont il se voyait affublé. "Les non-alignés sont des gens qui n’ont pas de ligne, pour ne pas dire 'des gens qui n’ont pas de couilles'" avait-il alors déclaré sur BFM TV. Classe.