Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Depuis qu’il n’est plus président de la République, Nicolas Sarkozy est redevenu un justiciable comme les autres. Ainsi a-t-il été arrêté le 31 décembre dernier par la police de Saint-Tropez après avoir été pincé en train de rouler à vélo à contresens, rapporte Nice Matin qui précise que l'ex-locataire de l'Elysée séjournait alors dans la station avec sa famille.
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"Il n’y a pas eu de traitement de faveur"
"Je lui ai demandé de façon courtoise de descendre de son vélo et de continuer à pied, a raconté l’agent au journal, ne serait-ce que pour que pour des questions de sécurité. Il m’a répondu qu’il n’y avait aucun souci et il s’est exécuté". Le fonctionnaire a également indiqué avoir tout de suite reconnu l’ex-chef de l’Etat, connu pour pratiquer fréquemment le cyclisme et la course à pied. "Je l’avais très bien reconnu car je l’avais déjà croisé en civil sur le port un été. Je l’ai arrêté à titre informatif sans idée de PV", a-t-il poursuivi, précisant ainsi ne pas avoir verbalisé Nicolas Sarkozy. Et le policier d’ajouter : "Je l’aurais fait pour n’importe quel cycliste. Il n’y a pas eu de traitement de faveur".
En vidéo - Quand Nicolas Sarkozy compare la politique avec le vélo