Face à la montée des cyberattaques, le FBI et la CISA recommandent d’arrêter d’envoyer des SMS entre utilisateurs d'iPhone et d'Android. Un conseil qui ne vise pas seulement les Américains mais tous les...
Nicolas Hulot est aujourd’hui le ministre du gouvernement le plus populaire et son départ constituerait une catastrophe médiatique pour l’exécutif. On comprend dès lors pourquoi la rumeur qui a couru cette semaine a pris une tel ampleur : sur France Inter, un indiscret a rapporté il y a que le ministre de la Transition écologique envisageait de plier bagage. Quelques jours plus tard, Nicolas Hulot lui-même venait en plateau expliquer qu’il n’en était pas question. "Tout va bien. (…) Nous avançons, plus que pas à pas. Ce qui est très important, c'est de ne pas avoir de petites ambitions mais des grandes ambitions quitte, parfois, à prendre un peu plus de temps (…) Aujourd'hui, je me sens très utile", a-t-il expliqué pour déminer les ‘’rumeurs urbaines’’.
A lire aussi: Nicolas Hulot, pourquoi tant d'amour ?
Dîner en tête-à-tête
Visiblement ce démenti aura été aussi utile aux médias qu’aux macronistes car la rumeur d’un potentiel départ de Nicolas Hulot a agité jusqu’à la majorité présidentielle. "La question avec lui, ce n'est pas de savoir s'il va démissionner mais quand il va démissionner !"", a même confié un cadre de La République En Marche à Marianne.
Le président lui-même aurait tenté un opération (re) séduction avec le ministre de l’Ecologie. Selon RTL, les deux hommes auraient dîné ensemble pendant plus de 3 heures 30, en tête-à-tête. De ce rendez-vous, Nicolas Hulot serait sorti, rassuré. "J’avais besoin de m’assurer qu’il voulait faire les choses en grand" aurait-il ainsi confié à ses proches peu après, en évoquant le président de la République.
Il faut dire que le président a de quoi vouloir chouchouter l’écologiste. Sollicité par Nicolas Sarkozy et François Hollande, Nicolas Hulot a toujours dit non et c’est finalement Emmanuel Macron qui aura réussi à le convaincre d’entrer au gouvernement.
Vidéo sur le même thème : Nicolas Hulot : "Mon obsession c'est ma loi hydrocarbure"