La technologie nécessaire au bon fonctionnement de la téléphonie mobile va entraîner une révolution : les anciennes fréquences 2G et 3G vont être délaissées par les opérateurs. Or, la connexion des alarmes...
Son agression jeudi dernier avait suscité une vague d'indignation dans la classe politique. Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate aux législatives finalement battue dimanche, en sait un peu plus sur l'homme avec qui elle a eu maille à partir.
Celui-ci, qui s'était enfoui en voyant NKM tomber au sol, s'est présenté de lui-même à la convocation des policiers chargés de l'enquête sur cette altercation qui avait provoqué la chute et l'évanouissement de l'ancien ministre. Photographié lors de la scène, il avait été identifié sur la base de témoignages et grâce aux images de vidéo-surveillance.
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Un maire d'une petite commune dans l'Eure
D'après 20 minutes, Il s'agit d'un homme de 55 ans s'appelant Vincent Debraize, et qui est maire (sans étiquette) de Champignollles, dans l'Eure.
En garde à vue samedi, il a reconnu "avoir insulté" Nathalie Kosciusko-Morizet mais il a contesté toute violence physique à son encontre. Il avait été placé en garde à vue pour "violences volontaires sur personne chargée d'une mission de service public". Une confrontation entre NKM et son agresseur présumé a eu lieu le jour même. Leur version s'opposent : Vincent Debraize "a reconnu avoir insulté NKM, avoir arraché les tracts et les avoir jetés en sa direction. En revanche, il nie tout contact physique et avoir bousculé" la candidate LR comme cette dernière l'affirme, a rapporté une source proche de l'enquête.
L'homme de 55 ans a été déféré dimanche soir au palais de justice de Paris où il a passé la nuit en attendant d'être fixé sur son sort ce lundi à la mi-journée.
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