De nouvelles règles d’indemnisation entreront en vigueur en avril 2025 et impacteront durement les plus âgés.
Depuis un peu plus d’une semaine, Nadine Morano est au centre d’une polémique suite à ses propos prononcés le samedi 26 septembre dans l’émission de France 2, On n’est pas couché.
"Nous sommes un pays judéo-chrétien - le général de Gaulle le disait - de race blanche, qui accueille des personnes étrangères.", avait-elle notamment dit. Des paroles qui lui ont valu toute cette semaine des critiques de la part de l’opposition et même de son propre parti, Les Républicains.
De retour d’un voyage en Russie, l’eurodéputé a voulu faire un pied de nez à ses détracteurs en allant se recueillir sur la tombe du général de Gaulle, à Colombey-les-deux-Eglises (Haute-Marne). Sur sa page Facebook, Nadine Morano revient sur cette semaine agitée pour elle, convaincue d’être dans son bon droit.
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"J’ai mal à ma France !"
"Je ne suis pas de la race des lâches, pour aucune fonction, je ne renierai le général de Gaulle !", lance-t-elle en guise d’avertissement alors que Nicolas Sarkozy se prépare à lui retirer son investiture en Meurthe-et-Moselle pour les élections régionales de décembre.
"Dès mon retour de Moscou hier soir, je suis allée directement me recueillir sur la tombe du Général de Gaulle à Colombey-les-deux-Eglises. Je ne savais pas que citer ses propos susciterait un tel lynchage médiatique et une telle hystérie chez mes "amis (sic)" politiques qui fait bien rigoler nos adversaires.", poursuit-elle.
Et l’ancienne ministre de finir sur une nouvelle citation : "Comme disait le Général Bigeard, j'ai mal à ma France !"
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